1. Mon mari me livre à ses amis


    Datte: 06/09/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... pour les allonger et écarter largement ma vulve. Puis de l'ongle de son index, il me griffa le clitoris, me faisant gémir à nouveau. Je me tortillais afin d'essayer de lui échapper et je reçus à nouveau quelques invectives.Pendant ce temps, ses amis avaient sorti leurs bittes et se masturbaient devant moi. Sébastien me fit faire volte-face et me dit de me pencher en avant jambes écartées. Je leur montrais maintenant mes fesses largement ouvertes ainsi que le trou de mon cul obscènement présenté.Ils pouvaient aussi voir dans cette position mon sexe par en dessous. J'étais morte de honte de devoir me présenter ainsi, mais aucune rebuffade ne m'était autorisée, sinon j'étais condamnée à recevoir des coups. Mon mari m'écarta les fesses un peu plus, puis un doigt de chaque côté de l'anus, il l'écarta un peu plus pour ensuite les y enfoncer. Je grognais, non qu'il n'ait jamais utilisé cette voie - il en était d'ailleurs adepte – mais là, il écartait largement et me faisait mal.La première fois que mon mari voulu me sodomiser, je m'insurgeais contre cette pratique, mais à force de menaces, il eut une fois de plus gain de cause. Je ne m'étais prêtée à cela que contre mon gré et comme mon corps n'était pas consentant, il me fit ce jour-là terriblement mal. Par la suite, l'habitude fit que j'eus moins mal, mais je ne m'y prêtais toujours qu'à contrecœur. Ce jour-là, d'être exposée ainsi devant ses amis et de subir la pénétration de ses doigts me mettait au désespoir.Il me fit ensuite ...
    ... tourner à nouveau dans leur direction, tout en restant penchée en avant. Il me remit deux doigts dans le cul, puis me maintenant ainsi, il me fit avancer vers le premier de ses amis, juste au-dessus de la bitte présentée. Il me dit de la prendre dans ma bouche afin de lui faire une fellation. Au point ou j'en étais, je n'eus pas le cœur de me révolter.Je savais également comment mon mari aimait les pipes, il m'en avait fait la leçon de nombreuses fois, toujours sous la contrainte : Je ne devais pas utiliser mes mains, mais celles de mon mari étaient cramponnées dans ma chevelure et lui seul devait guider ma tête. Il fallait que je suce le gland, promenant mes lèvres et ma langue tout autour. Serrant de temps en temps les lèvres en aspirant afin de bien le pomper. Puis ensuite il me fallait faire coulisser la queue dans ma bouche jusqu'à ce qu'elle atteigne le fond de ma gorge. Là je devais m'arrêter pour de mes lèvres essayer d'en ingurgiter un peu plus. Tant que ma bouche n'était pas collée contre les poils de son pubis, il considérait que je n'étais pas assez loin. Il fallait maintenant rester dans cette position quelques secondes, le temps qu'il ressente les spasmes qui montaient de mon estomac et qui faisait battre ma luette contre son gland. Alors je pouvais me retirer doucement, serrant fort mes lèvres contre la hampe glorieuse, pour reprendre mes caresses linguales sur le gland. Avec lui les fellations duraient longtemps et je devais le pomper ainsi jusqu'à ce qu'il se ...