1. Mon mari me livre à ses amis


    Datte: 06/09/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... vide au plus profond de mon oeusophage. Ce n'était pas fini pour autant. Je devais encore rester ainsi sans bouger afin qu'il puisse savourer cet instant magique.Mais aujourd'hui, ce n'était pas la queue de mon mari que j'avais en bouche et j'espérais que la fellation serait plus courte. Pendant que le premier m'enfilait son sexe dans la bouche, Sébastien me plaça le sien contre mon anus et força pour me l'enfoncer bien à fond. Je n'avais jamais été prise de deux côtés à la fois et ce que je ressentis à ce moment-là me mis dans le plus profond désarroi. Ne pouvant même pas crier et m'étouffant avec la bitte calée entre les mâchoires je ne pouvais que subir ce double viol. Mon mari s'aperçut rapidement que je ne pratiquais pas la fellation correctement. Il m'attrapa à nouveau les pointes des seins pour les écraser entre ses doigts en me disant de m'appliquer. Au comble du désespoir, j'essayais de faire de mon mieux, mais mes reins et mes mâchoires me faisaient mal. Ils prirent leur temps, et au bout d'environ vingt minutes, je reçus dans les reins et dans le fond de ma gorge leur semence abondante.Sachant que le deuxième n'avait pas encore été satisfait, je savais que je n'en serais pas quitte pour si peu. Il s'était installé dans la chauffeuse et avait quitté son pantalon. Il me dit de venir m'assoir sur lui, sa bitte bien calée dans mes reins. D'un regard vers mon mari, je compris que je n'avais pas le choix, j'obéissais donc, me positionnant délicatement sur la bitte en ...
    ... érection et descendant doucement jusqu'à l'avoir en entier dans mes reins. Celle-ci était encore plus grosse que celle de Sébastien et me distendait douloureusement. Je n'osais pas bouger mais celui-ci me dit de passer mes jambes de chaque côté des accoudoirs, m'empalant encore plus.Je devais également me pencher en arrière et me retenir sur le dossier. Je transpirais déjà beaucoup quand je vis arriver mon mari avec une cravache. C'est alors qu'il me dit de commencer à bouger pour faire coulisser la bitte dans mes reins. Je devais forcer sur mes cuisses pour me relever à la limite de faire ressortir le gland, puis me rasseoir dessus jusqu'à l'avoir en entier dans les intestins. Je devais faire cela avec un rythme assez rapide qui m'épuisa rapidement. Lorsque je faiblissais, Sébastien qui s'était planté devant moi me cravachait les cuisses ou les seins. Je criais à chaque impact et la douleur de mes reins était insupportable. Je n'avais d'autre issue que d'attendre qu'il se vide dans mon cul le plus vite possible. Pour cela je m'appliquais de mon mieux afin de ne pas souffrir trop longtemps. Ca dura un bon quart d'heure avant qu'il ne crache sa semence au plus profond de mes reins. J'étais épuisée et je m'affalais sur lui, n'osant changer de position sans leur accord.Mon mari me dit alors de me relever et d'aller me laver. Je devais revenir habillée uniquement avec le tablier, les bas et la coiffe sur la tête. Je dus les servir à table, puis m'installer dessous. Celle-ci étant en ...