Épisode II : Soirée billard
Datte: 24/09/2019,
Catégories:
fh,
frousses,
volupté,
Oral
pénétratio,
jeu,
... cher. Trente secondes après, trempée bord en bord. Maudit temps d’chien ! Je gloussais doucement. — Ça t’amuse ? fit-elle, sortant la tête.— Bien sûr !— Ah-Ah-Ah, fit-elle, sarcastique. Je me dis alors qu’envenimer la situation n’avait rien de bon. Je ne la connaissais pas suffisamment pour savoir si elle m’en voulait pour mes propos. Je faisais la moue songeuse quand elle émergea du vestibule, imbibée d’eau. Je dus contenir mon embrasement de peine et de misère. Son t-shirt gris à col en V, arborant un Naughty Girl on ne peut plus mérité, moulait sa poitrine et dévoilait le soutien-gorge. Ses pantalons taille basse étaient si bas qu’on voyait clairement le maillot de bain qui lui servait de sous-vêtement. Déjà serrés, ils étaient devenus des collants sombres. Ses cheveux cascadant sur ses épaules, aplatis sur sa tête, elle était magnifique. Les pointes rousses dégouttaient doucement et on aurait dit que son crâne flamboyant luisait. Quand elle me dépassa, faisant exprès de secouer sa chevelure pour m’asperger, je ne pus m’empêcher de plonger les yeux dans le col de son chandail, qui laissait voir la peau mate et à peine sèche de son buste. Je suivis d’un air possédé ses mouvements de hanche jusqu’à sa chambre, où elle disparut. Une érection grandiose bourdonnait dans mon jean et je décidai de prendre un bon verre d’eau pour tenter de la faire passer. (Rien n’indiquait que j’avais la moindre chance.) Question de me racheter de l’avoir piqué au vif, je décidai de nous ...
... préparer un petit quelque chose. Je plongeai dans le frigo, l’oeil à aux aguets. J’avais besoin de quelque chose de rapide. Je saisis quelques fruits et de la crème glacée. Je l’entendais qui grondait et qui tempêtait dans sa chambre. Tout à fait déchaînée. — Arrrrrrg, cria-t-elle à un moment donné. J’entendis des bruits sourds de boîtes qui tombent et je me souvins alors que sa garde-robe était peut-être un peu trop pleine. Je souris. J’avais laissé traîné dans le frigo une bouteille d’un mousseux très doux et je l’ouvris prestement, avec le « pop » bruyant. Elle lâcha un cri d’orfraie et je ne m’empêchai certes pas de rire, un grand rire puissant, pour être bien sur qu’elle m’entendit. Je pris deux coupes et versai le mousseux, puis, pris du jus de canneberges et le mélangeai avec. Un résultat pétillant et délicieux. Au moment où je terminais, elle sortait de sa chambre, vêtue d’un court et léger paréo et d’un autre t-shirt moulant et dévoilant le ventre. Elle n’avait apparemment que des vêtements d’allumeuse… Elle se dirigeait vers la cuisine, à grands pas, faisant claquer ses sandales de plage. — Bon bon. On prend une grande respiration, dis-je en la regardant dans les yeux. Je la vis ébaucher un petit sourire amusé. — Viens, je nous ai fait un en-cas, annonce-je. Elle regarde les bols et les coupes, sa colère parut s’évanouir et elle ébaucha un merveilleux sourire. — Ah ! T’es trop bon toi ! Nous nous installâmes à table, silencieux. — Ta garde-robe est pleine hein ? pouffe-je. ...