1. Ma tentation incestueuse (6)


    Datte: 25/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... le tour de mon mamelon du bout de mon index et sentis mon téton se dresser. Cette façon de m’exhiber, je ne me serais jamais crue capable de le faire, avant ; je m’étonnais moi-même, et ça m’excitait de plus en plus. Il avait ajusté sa cam et je vis qu’il commençait à caresser sa queue bandée. Je voulus pousser le bouchon un peu plus loin. — Tu me montres autre chose ? me demandai-t-il. — Hmmm... Ça dépend. Qu’est-ce que tu veux voir ? — Ce que t’as à proposer. Je me levai de ma chaise, me retournai, retirai lentement – très lentement – mon string, me penchai en avant de manière à ce qu’il ait une vue imprenable sur l’intégralité de mon intimité mise à nu, et écartai doucement mes lèvres vaginales trempées. — T’es en train de me rendre fou, toi ! Ta chatte a l’air bien juteuse, d’après ce que je vois, petite sœur. Je peux lécher ? — Tu veux lécher comme ça ? lui proposai-je en approchant mon visage de la cam et en léchant un de mes doigts trempés tout en le regardant langoureusement. — Oui, j’ai envie de te bouffer ! fit-il en se masturbant. Si tu continues à me provoquer comme ça, je vais éclabousser l’écran. — Moi, c’est ta superbe queue que j’ai envie de bouffer... lui dis-je en me pourléchant comme une porno star. J’ai envie de flatter tes bourses, de déguster ta crème chaude et épaisse, de... — Viens dans ma piaule  ! m’interrompit-il. La conversation s’arrêta brusquement. — Allô ? Jeff ? fis-je, surprise. Notre petit plan m’avait trop excitée ; je mouillais comme une ...
    ... folle. J’arrêtai vite le logiciel, éteignis l’ordinateur, ouvris la porte de ma chambre en silence, sortis et me dirigeai à pas de loup vers la chambre de Jeff, qui avait laissé sa porte entrouverte, laissant passer une faible luminosité, m’empêchant ainsi de tâtonner dans le noir total. Nous étions sur le point de nous donner l’un à l’autre. On avait pourtant déjà fait ça, mais jamais alors que nos parents étaient encore à la maison, et surtout si proches de nous. Cette idée m’excitait toujours plus : je bravais l’interdit, et j’adorais ça. Il était nu, allongé sur son lit, bandait comme un taureau, et se masturbait lentement. J’entrai en silence, refermai la porte derrière moi et, toujours sans dire un mot, m’allongeai sur lui. Je me plaçai en position de 69 afin de nous repaître mutuellement comme des dingues. — Oh, ma petite Cécile, t’es vraiment trempée ! constata-t-il en me dévorant la chatte. — Et toi, tu bandes tellement dur, mon Jeff... hoquetai-je en le branlant avec frénésie tout en massant doucement ses couilles. Je t’ai tant excité que ça ? — Tais-toi, je t’en prie, sinon tu vas réveiller les parents, me murmura-t-il dans une fièvre sûrement semblable à la mienne. — Je prends un pied incroyable, si tu savais... murmurai-je avec peine. Nous nous sommes dévorés pendant de délicieuses minutes ; seul le bruit de nos succions était audible. Nous faisions attention à nos gémissements, mais j’eus un terrible orgasme qui me secoua et que j’eus toutes les peines du monde à ...