Ma tentation incestueuse (6) - Histoires de Sexe

Ma tentation incestueuse (6)

... étouffer. Tout à coup, je me redressai, quittai la queue de mon frère et m’empalai dessus d’un coup sec, lui faisant face. La sensation était si extraordinaire que j’en roulais des yeux. Ses mains se joignirent aux miennes, sa bouche à la mienne, et je débutai une danse lascive. Je prenais tellement mon pied que j’avais de plus en plus de mal à me retenir de gémir. Il l’avait sûrement senti parce qu’il me fit allonger sur lui en prenant un de mes seins qu’il pétrissait, m’enlaça tendrement avec son bras libre, et imprima un rythme plus doux et sensuel, mais aussi plus ferme. J’étais en train de me tordre de plaisir, de devenir folle de bonheur, ainsi plaquée et empalée sur lui. — Doucement, ma puce... me murmura-t-il tendrement à l’oreille. — Mon bébé, c’est trop bon ce que tu me fais. Je t’aime. — Je t’aime aussi, et pour moi aussi c’est bon. J’ai même envie de jouir maintenant, mais je t’en prie, essaie de rester silencieuse, continua-t-il à me murmurer doucement en haletant. — J’y peux rien, Jeff, tu me rends dingue, et tes murmures n’arrangent rien. Oh mon Dieu, baise-moi plus fort ! Son rythme s’accélèra doucement ; sa queue me pénétrait toujours plus profondément, plus intensément. Un autre orgasme arrivait et je sentais que je ne parviendrais pas à étouffer mes cris de jouissance, cette fois. Je perdais la tête, mais si je me faisais entendre, ça allait barder pour nous deux ! Et je ne voulais pas que ça arrive. J’attrapai une partie du polochon de Jeff et le ...

... mordis de toutes mes forces pour étouffer le râle de souffrance et de plaisir mêlés que je lâchai lorsqu’un orgasme tonitruant me secoua presque au point de faire perdre connaissance. Je lâchai ma prise ; Jeff accéléra la cadence, et lui aussi étouffa son cri en dévorant mon cou de baisers passionnés. Je sentis son chaud jus d’amour se répandre en moi en généreuse quantité, puis il finit par quitter mon intimité. Nous étions essoufflés, épuisés, enlacés, et nous nous congratulâmes de cet acte par un baiser fantastique. Comme à chaque fois qu’il jouissait en moi, je me précipitai pour bien le nettoyer avec ma bouche et ma langue. Une fois mon nettoyage terminé, je me blottis quelques instants dans ses bras avant de me lever pour partir, mais pas sans l’avoir embrassé. J’éteignis la lumière pour qu’il s’endorme, ouvris la porte délicatement et la refermai derrière moi. Je sentais le sperme de mon amant sortir de ma petite chatte et me couler sur les cuisses, mais je pourrais toujours le déguster une fois revenue dans ma chambre. Je marchais lentement dans le couloir où il faisait noir comme dans un four, lorsque je me heurtai à une personne. Je crus être tombée nez-à-nez avec un cambrioleur lorsque la voix de maman se fit doucement entendre, m’empêchant de hurler de terreur. — T’es pas très discrète quand tu prends ton pied, ma fille ; mais j’imagine que les capacités sexuelles de ton frère y sont peut-être pour quelque chose... m’informa-t-elle à voix basse. J’étais tétanisée, ...