1. Florence et moi (1)


    Datte: 25/09/2019, Catégories: Hétéro

    Cette histoire s’est déroulée il y a déjà plusieurs années, alors que j’étais encore à la fac, quelque part du côté du nord de la France. A cette époque, mon couple battait de l’aile, je me sentais prisonnier d’une relation franchement destructrice. A cette époque toujours, je comptais parmi mes ami(e)s une certaine Florence, une fille dont j’étais très proche mais avec laquelle il n’y avait pas d’ambiguïté, du moins le pensé-je. Florence, c’était pas vraiment une nana qui me plaisait. Son visage était assez quelconque, et pas franchement à mon goût (alors que je ne pense pas être difficile, loin de là), elle avait surement quelques kilos de trop (mais ça ne m’a jamais dérangé, elle était d’ailleurs plus mince que ma copine de l’époque), et une énorme poitrine (un bonnet E qui faisait rêver la plupart des mecs, mais qui pour ma part ne m’inspirait pas du tout : je préfère une petite poitrine ferme à une grosse pendante). Par contre, je dois admettre qu’elle avait un derrière incroyable : des fesses parfaitement rondes qui accompagnaient des hanches avec juste ce qu’il faut de largeur et des jambes longues et plutôt fines. Bref, je préférai largement l’avoir pour amie que dans mon lit, même si je ne me privais pas de reluquer son derrière quand je pouvais. Mais sans arrière-pensées cela dit, je regardai juste pour la beauté de la chose. On parlait souvent par sms ou par msn, moins en vrai parce que ma copine était extrêmement jalouse. On se voyait aussi pour les réunions de ...
    ... notre association étudiante, spécialisée dans le jeu de société et, ça a son importance pour la suite, le jeu de rôle. Car oui, comme pas mal d’étudiants je pense, nous étions rolistes et c’est ce passe-temps qui est à l’origine de ce que je vais vous raconter. Or donc, avec quelques personnes de l’asso, nous avions décidé de lancer une petite campagne en dehors des horaires qui nous étaient dévolus, dans une salle de cours désaffectée en cette période de révisions de partiels. Lorsque j’en ai parlé à Florence, elle a immédiatement voulu se joindre à nous en me demandant ce qu’il faudrait faire pour se joindre à la table. Je ne sais pas vraiment pourquoi j’ai répondu « suffira juste de me tailler une pipe en string et de me laisser jouir sur ton visage », la fatigue sans doute (on discutait souvent jusqu’à 2 ou 3 heures du matin), mais je me suis soudainement trouvé horrifié par une telle audace. Déjà parce que je savais que ma copine ne se privait pas de lire mes conversations msn quand j’avais le dos tourné, mais aussi parce que je risquais d’y perdre une amie. J’étais en train de taper un « t’inquiète, je déconne » quand j’ai eu sa réponse. « Ok :) » Je crois que j’ai failli faire un arrêt cardiaque à ce moment. Trop de choses se sont bousculées dans ma tête, entre la peur, l’excitation, ma copine, et tout un tas de choses. Je lui ai dit qu’on en reparlera le lendemain, et je suis parti me coucher. Dire que j’avais les idées au clair en me levant serait un énorme mensonge. ...
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