Florence et moi (1)
Datte: 25/09/2019,
Catégories:
Hétéro
... En fait, je crois que je n’ai presque pas fermé l’oeil de la nuit et que j’ai été dans un état second toute la journée. Quand dans la journée j’ai reçu un sms de Florence pour me demander comment on allait régler notre « accord », j’ai répondu sur l’impulsion du moment en lui proposant de nous retrouver avant la première partie de la campagne dans une salle de la fac dont j’avais les clefs et où je nous savais tranquilles pour faire notre affaire. Il faut bien comprendre qu’à ce moment, j’avais déjà accumulé pas mal de copines (une dizaine en tout, pour une durée qui allait de 1 mois à 2 ans) et que je n’avais jamais, JAMAIS, été infidèle. Pas même un bisou sur la joue ou une caresse fugitive. Autant dire que je me sentais aussi mal à l’aise qu’excité. Mais je crois que vous vous en fichez. Bref, on se retrouve donc le jour dit, deux heures avant le début de la partie, dans cette fameuse pièce. C’était plutôt le genre glauque, au sous-sol, mal éclairée et poussiéreuse, mais je ne voyais pas d’endroit. Comme d’habitude, on discute de tout et de rien, on se raconte nos vies, le dernier jeu vidéo qu’on a fini, ce genre de trucs. Et au fur et à mesure que l’heure passe, le malaise grandit. On sait tous les deux qu’on est là pour un truc précis, mais il y a quelque chose qui nous bloque. Quatre ans d’amitié, ma copine, le lieu pas idéal, le fait que tout soit passé par sms et donc très intangible... J’ai une boule dans la poitrine causée par un mélange de peur, d’excitation et de ...
... scrupules. Ça doit faire 15 minutes que je suis en érection (par intermittence, je vous rassure), et je sais déjà que je ne tiendrai de toute façon pas longtemps. Finalement, je regarde l’heure. Dans trente minutes, on doit être dans une salle proche pour commencer la partie. Je le lui dis, elle me répond « Bah on s’y met alors ? » en commençant à déboutonner sa chemise. D’un seul coup, la glace est brisée, je me lève, l’attrape par la taille et la colle contre moi, chemise ouverte sur sa peau nue. Elle m’embrasse, nos langues se mélangent. Elle a un goût de cigarette froide, mais comme moi aussi ce n’est pas grave. Sa main se fraie un chemin jusqu’à mon entrejambe, à travers le jean elle peut constater que je suis au garde-à-vous. Elle me repousse gentiment. « On va être à la bourre si on fait pas ça rapidement » me dit-elle. Elle se déshabille rapidement, me demande la permission de garder ses bottines : on est en hiver et le sol est glacé. Bien entendu qu’elle peut, je ne comprends même pas qu’elle m’ait posé la question. Après moins d’une minute, elle se retrouve debout devant moi, n’arborant qu’un string noir qui passe entre ses fesses. Elle m’embrasse une dernière fois et s’accroupit pour se mettre au niveau de ma braguette, déboutonne mon jean et sort mon sexe. Elle le regarde quelques secondes, je crois qu’elle non plus ne réaliste pas vraiment ce qu’elle est en train de faire. Puis elle commence de petits mouvements de va-et-vient avec sa main, avant d’approcher sa ...