FanfiX: les bronzés font du ski (1)
Datte: 27/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... pour l’encourager dans sa fellation. Mais Caro se rendit vite compte qu’elle ne pouvait recevoir dans sa bouche que la moitié de l’énorme pieu, qui butait au fond de sa gorge. Elle craignait de décevoir Boris, et elle compensait en déployant tous les trésors de son expérience et de son imagination pour le sucer. Et ça marchait, si on en jugeait par les grognements sonores du russe. Pour elle aussi, l’excitation était à son comble, et elle sentait la cyprine couler de sa fente entrouverte. Au bout de quelques minutes, elle leva les yeux vers lui, avec une expression provocante. — Tu aimes ce que je te fais ? — Da ! Oui, bien sur…. Il faut que je te baise… là, tout de suite. Il semblait devenir fou de désir. Il attrapa Caroline par les épaules, la plaça face aux vasques de la salle de bains, et la força à se pencher, en appui sur le meuble, et à écarter les jambes. De ses mains, il écartait ses fesses et ses petites lèvres. La petite taille de Caro obligea Boris à plier les jambes, et il appuya son gland contre l’entrée de sa grotte. Pour le spectateur, le contraste entre l’énorme mandrin et la petite chatte était impressionnant. — Vas-y, je t’en prie… vas-y doucement, supplia Caroline, pour qui l’attente de ce moment était devenue un supplice. Boris se contrôlait maintenant parfaitement. Par petites poussées, sa tige disparut entre les cuisses de son amante, qui feulait. — Oooooh !! C’est bon… Qu’est-ce qu’elle est grosse, oh oui, elle me remplit, je la sens au fond de mon ...
... ventre. Lorsqu’il eut réussi à plonger tout son sexe dans le minou de Caro, il marqua un temps d’arrêt, puis bougea lentement ses hanches, attendant ses premiers cris de plaisir. Quand elle les poussa, il se retira presque complètement, puis la perfora de nouveau à fond d’un coup de reins. Il poursuivit ce petit manège quelques minutes. Elle apprécia d’abord, puis eut l’impression de perdre la tête. — Vas-y, mais vas-y ! Défonce-moi !, hurlait-elle. Boris n’attendait que ça. Il se mit à pilonner l’abricot de la jeune femme, qui haletait, les yeux-mi-clos, un filet de salive au coin des lèvres. C’était si violent qu’elle gardait difficilement l’équilibre, et elle finit par tomber sur le carrelage. Elle ne pensait même pas à ses genoux douloureux. Les amants ne s’étaient pas désunis, et Boris poursuivait son fabuleux coït. Un orgasme d’une rare violence submergea Caroline, mais le russe ne ralentissait pas le rythme. Elle avançait involontairement sur les genoux, en glissant sur le carrelage, sous la force des assauts. Boris prononçait des mots incompréhensibles, en russe, la sueur ruisselant sur son corps. — Je vais jouir !! Je vais jouir encore, cria Caro en sanglotant. Oh oui !! ça vient, c’est bon.. Je jouis ! Cette fois, Boris poussa un rugissement, et son sperme gicla, avec une force incroyable. C’était un véritable torrent et il arrosa de foutre les fesses et les reins de Caroline en se retirant. Ivre de plaisir, comblée, elle se laissa tomber sur le sol, les bras en croix. ...