FanfiX: les bronzés font du ski (1)
Datte: 27/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... — Tu as déjà souvent pris ton pied comme ça ?, demanda-t-il. — Non, j’avoue, répondit-elle. — Attends, ce n’est pas fini !, reprit Boris, qui récupérait à une vitesses inouïe. On va d’abord reprendre des forces. Il retourna dans la chambre, et téléphona à la réception pour commander une nouvelle bouteille de champagne. Il laissa Caro prendre une douche (avec de l’eau chaude cette fois), puis prit sa place. Il sortait en peignoir de la salle de bains, quand on frappa à la porte. Boris lança un « entrez » sonore, sans se préoccuper de la nudité de son amante. Le serveur qui rentra avec son chariot fit semblant de ne rien voir… Boris tendit une flûte à Caro, en plaisantant sur son goût pour l’exhib, puis descendit les trois quarts de la bouteille. Revigoré, il la poussa sur le lit, qui devait faire au moins deux mètres de large, et plongea la tête entre ses cuisses. Malgré sa force brutale, il savait être infiniment délicat. Il lécha longuement sa fente, qui redevint aussitôt trempée de mouille, suça son clito, la fouilla avec ses doigts tout en passant sa langue entre ses fesses, jusqu’à ce qu’elle gémisse à nouveau. Puis il s’allongea sur le dos, et la fit venir sur lui pour qu’elle le chevauche. Caroline adorait cette position, où elle réglait le rythme et l’intensité de ses mouvements au gré de son plaisir. Le priape de Boris se tenait à la verticale, et c’est seulement pour le guider vers sa fente qu’elle l’empoigna. Elle fit durer le plaisir, contractant l’entrée de son ...
... antre autour du gland turgescent, sans s’empaler complètement. Boris savourait en connaisseur ce raffinement érotique. Enfin, elle laissa sa chatte coulisser doucement sur le mât dressé, pour qu’il la perfore. Elle marqua une pause, pour savourer cette sensation d’être complètement remplie, puis se mit à aller et venir sur le mandrin de son amant. Pour mieux goûter cette expérience, elle se pencha en arrière, s’appuyant avec ses bras tendus sur les genoux de Boris. Dans cette position, le gland se frottait sur son point G à chacun de ses mouvements, provoquant dans son bas ventre une décharge électrique. Elle criait, et il la saisit par les hanches, pour accélérer le rythme. Caroline sentait l’orgasme monter. Elle essayait de retarder l’explosion pour la rendre plus violente. Elle se mordait les lèvres, mais soudain, ce fut comme si une digue se rompait, et elle jouit encore. Ses cris grimpèrent dans les aigus – il fallait espérer que les chambres soient bien insonorisés… Le russe avait une résistance très au-dessus de la moyenne ! Malgré les prouesses sexuelles de Caroline, il gardait le contrôle de ses réactions. Il la souleva comme si c’était une plume, et l’allongea sur le lit. Elle restait immobile, épuisée. Il se plaça entre ses jambes, lui écarta grand les cuisses, empoigna ses fesses d’une main pour soulever son bassin et, de l’autre main, guida sa bite vers la fente écarlate et luisante de cyprine. — Tu en veux encore ?, lui demanda-t-il, même s’il ne lui laissait pas ...