1. Gloria


    Datte: 27/09/2019, Catégories: fhhh, extracon, inconnu, sauna, Oral pénétratio, Partouze / Groupe totalsexe, bourge,

    ... en un temps record sans cesser de m’enlacer et de m’embrasser. J’ignore comment il a pu faire, seul le résultat compte. Il est à présent nu contre moi, tout contre ; je peux inlassablement profiter de lui, de son corps bien fait et tout chaud. — Allez, viens ! C’est avec un profond soupir de satisfaction que je le sens entrer en moi. Oh oui, je veux être toute à lui, rien que pour lui ! Je veux qu’il me prenne, qu’il me fasse décoller, que j’aie plein d’étoiles dans les yeux et plein de papillons dans le ventre ! Je m’agrippe à lui ; tant pis pour son dos, pour ses bras. Je le veux plus encore en moi tandis qu’il me pistonne férocement, qu’il essaie d’être encore plus profondément en moi. — Oh oui, oh oui, encore ! C’est fou ce que je suis en train de vivre ! Je suis comme secouée de tas de mini-orgasmes qui explosent les uns derrière les autres. À peine le temps que s’évapore le plaisir qu’un autre prend sa place, légèrement plus intense. Je commence à avoir du mal à respirer ; mes yeux se brouillent, mon corps me semble étranger, mais totalement irradié de ravissement. — Oh oui, vas-y, vas-y, encore ! Je pars dans un long cri ; je tombe dans un puits sans fin, je tourbillonne sur moi-même, je ne sais plus où est le haut, où est le bas : il n’y a plus que ma jouissance et lui, Didier, lui toujours en moi, pour moi, rien que pour moi, rien qu’à moi ! — Oh ouiii ! Ouiii ! Ouiii ! Je meurs, aspirée par un vaste maelström ! Puis je renais, plus éclatante que jamais. Nouvelle ...
    ... femme, docile objet de plaisir, de désir, de tant de choses inconvenantes… Je meurs ainsi bien des fois ; je renais ainsi bien d’autres fois, prenant mon plaisir, donnant du plaisir, loin de toute considération morale. Et tant mieux si je me damne et que je me brûle les ailes ! Décidément, aujourd’hui aura été la journée des révélations ! —oOo— Étendue sur le matelas au sol, fesses à l’air, tête enfouie dans mes bras, je me laisse câliner par les mains si douces de Didier. J’adore son contact, sa délicatesse, la sensation d’être fragile, ce qui contraste singulièrement avec ce que j’ai pu vivre dans la salle de gynécologie… À bien y réfléchir, ces deux extrêmes sont très bien, même si j’ai une nette inclination pour les caresses de Didier. Actuellement, c’est mon dos et mon petit cul qu’il caresse très voluptueusement pour en essuyer les dernières traces de savon. J’adore ça ! Je me laisserais bien faire de la sorte indéfiniment ! Et puis ça me procure de doux frissons bien délicieux… Le temps s’écoule agréablement, puis soudain, il dépose de façon très appuyée de doux baisers sur mes fesses frémissantes. — Fini !— Ah ! Déjà fini ? Dommage : j’étais si bien ! Il s’agenouille sous mon nez. — Si tu le souhaites, je peux te resalir pour te laver à nouveau.— Humm, ce ne serait pas une mauvaise idée ! Je me redresse sur mes bras, lui mettant sous son nez à lui mes seins qui n’attendent que ses lèvres. Pas besoin de le lui dire de vive voix : il comprend tout seul comme un grand ! ...