1. Une auberge pas comme les autres


    Datte: 29/09/2019, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, humilié(e), couche, Oral jeu, uro,

    Il était neuf heures du soir et j’avais encore trois heures de route pour rentrer à la maison. Le temps était détestable, il pleuvait d’une façon diluvienne ce qui diminuait la visibilité et l’allure de la voiture. Aussi, je décidai de m’arrêter pour passer la nuit à la prochaine occasion. Celle-ci se présenta quelques kilomètres plus loin sous la forme d’une auberge devant laquelle stationnaient plusieurs gros camions. J’avais donc des chances de trouver une chambre pour passer la nuit. Mais d’abord, j’avais deux choses urgentes à faire. La première, prévenir ma femme que je ne rentrerais que le lendemain. La deuxième la plus urgente, me changer, car j’étais trempé. Non pas par la pluie, mais parce que je faisais toujours pipi dans ma culotte durant la journée ce qui m’obligeait à porter des couches et une culotte en caoutchouc sous mes affaires normales. Celles-ci étaient tellement mouillées que, malgré la culotte en caoutchouc, le siège de ma voiture était humide. Comment j’en étais arrivée là à plus de quarante ans ? Celle incontinence ne m’a jamais quitté. Lorsque j’étais enfant, j’ai mouillé mon lit jusqu’à un âge avancé et ma mère me mettait encore des langes alors que mes camarades de mon âge couraient déjà les filles. Sans doute ma mère voyait dans les couches le moyen de me garder auprès d’elle plus longtemps, et lorsque petit à petit je me mis à mouiller ma culotte dans la journée, elle me fit aucune remontrance et se contenta de m’habiller comme un bébé. De mon ...
    ... côté, j’acceptai facilement cet état des choses car je trouvais un plaisir incomparable à être enveloppé de linge humide et chaud. Toute la famille était au courant de mon infirmité et se rassurait en disant que cela passerait avec l’âge. Cela aurait pu arriver si je n’avais rencontré une jeune fille qui au bout d’un certain temps s’est rendu compte de mes sous-vêtements particuliers. Loin de s’en formaliser, elle prit plaisir à me caresser sous ma culotte de caoutchouc. Peu après elle exprima le désir de me changer elle-même, mes couches lorsqu’elles étaient mouillées. Pour moi, le plaisir étant encore plus grand, je ne cherchai pas à me passer de mes jeux humides, qu’elle encouragea au contraire lorsque nous fûmes mariés. Elle me fit confectionner un trousseau complet de bébé, avec, bien sûr, des couches rectangulaires et en triangle, des couches-culottes se boutonnant sur le devant, des culottes en caoutchouc, mais également des brassières, des barboteuses, bavoirs etc… que je devais revêtir aussitôt rentré le soir à la maison. Bien que prenant beaucoup de plaisir à me langer chaque fois qu’il était nécessaire, jamais elle n’accepta de mettre, elle aussi, des couches et une culotte en caoutchouc, à mon grand regret d’ailleurs. L’instant le plus agréable pour nous deux était le matin à mon réveil. Le soir, ma femme ne me mettait qu’une seule couche, très insuffisante pour absorber mes inondations nocturnes, aussi la culotte de caoutchouc était-elle le matin pleine de ce ...
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