1. Une auberge pas comme les autres


    Datte: 29/09/2019, Catégories: fh, hplusag, fsoumise, humilié(e), couche, Oral jeu, uro,

    ... liquide ambré, chaud et odorant ainsi que le drap en caoutchouc sur lequel nous couchions. Le matin donc, elle me retirait ma culotte, vidant son contenu entre mes cuisses pour former une vraie mare sous mes fesses, puis s’allongeait à côté de moi. Peu de temps après, sans quitter me couche ruisselante, je m’allongeais sur elle et la pénétrais, la couche glissée sur le côté. Elle n’atteignait l’orgasme qu’au moment où me déversant en elle, elle pressait la couche se balançant au-dessus de son ventre, pour faire couler le pipi entre ses cuisses, lui baignant les fesses à son tour. Lorsque je partais le matin pour le travail, elle me donnait toujours mon sac dans lequel elle avait préparé couches et culotte de caoutchouc de rechange. C’était ainsi tous les jours et depuis des années, la naissance de deux enfants n’ayant rien changé à nos habitudes. Enfants que ma femme, par plaisir, maintenait aussi dans un état infantile, car âgées de six et neuf ans, nos deux filles portaient également des couches et des culottes en caoutchouc. Ce soir-là, donc, j’entrai dans l’auberge avec mon inséparable sac. Je pus obtenir la seule chambre restante que la patronne de l’Auberge me montra aussitôt sur ma demande. Le lit n’était pas fait. Elle me dit alors que sa fille, lorsqu’elle serait rentrée, viendrait le faire, sans doute d’ici une demi-heure. J’avais donc le temps de me changer et d’aller ensuite téléphoner. La chambre était des plus simple, un matelas sur pieds pour deux personnes, ...
    ... une petite armoire dans un coin, une chaise et un lavabo séparé du reste de la chambre par une cloison de bois. Je posai le sac sur le lit et sortis la culotte en caoutchouc de rechange et une couche propre. C’était bien insuffisant pour passer la nuit surtout sans alèse pour protéger la literie. Je me déshabillai et quittai la culotte et les couches toutes trempées de la journée, que je jetai dans le lavabo. Je m’essuyais rapidement avec la couche propre avant de la fixer autour de ma taille avec les épingles de sûreté et de passer la culotte en caoutchouc. De nouveau au sec, je descendis à la réception pour téléphoner à ma femme. Celle-ci comprit les difficultés que me procurait le manque de moyens de protection et me proposa de parler à l’hôtelière, étant plus facile de parler de ces choses entre femmes. J’acceptai avec joie son offre et parti pour aller chercher la patronne de l’hôtel. Je la trouvai à la cuisine et je lui dis que ma femme désirait lui parler. Elle revint quelques temps après, et en souriant elle me dit : "Tout est arrangé. Je connais bien cette situation gênante, j’ai une grande fille dans votre cas et j’ai tout ce qu’il faut pour que vous passiez la nuit tranquillement. Vous pouvez remonter dans votre chambre, je vous ferai porter le nécessaire par ma fille aînée, dès qu’elle aura fini du faire votre lit !" Je la remerciais rouge de confusion, et regagnais la chambre. Bien que je ne sois pas resté longtemps parti, le lit était déjà fait. Je décidai de me ...
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