1. Malentendu


    Datte: 07/09/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, Oral pénétratio, init, mélo, amourdram, consoler,

    ... moche. Il ne sait que répondre, à son tour il se met en maillot. — Par contre, tu es drôlement bâti, et c’est pas de la gonflette ! Tu dois être un sacré sportif ! lui dit-elle. Ils ont déballé tout leur attirail et petit à petit, ont repris la conversation. Mais Nicolas regrette de ne pouvoir, comme les autres filles, la baratiner, tenter sa chance. Ils sont descendus à la rivière, se sont mouillés les pieds, mais l’eau est quand même trop froide. Ils sont allés manger. Elle a préparé un festin royal, jamais ils ne parviendront à liquider toute la nourriture. — Tu sais que tu es très belle, et je dois t’avouer, tu me donnes de drôles d’idées. Si tu n’étais pas ma patronne, j’essaierais peut-être….— Ne fais surtout pas ça. Je suis ta patronne, c’est vrai. Mais ce n’est pas pour cette raison. Je ne supporte pas qu’un homme me touche. Je t’ai embrassé, je me suis mis dans cette tenue parce que je te fais entièrement confiance. Alors ne brise pas cette amitié, parce que quand on m’attaque, je suis terrible. Refroidi par le ton de ses paroles, il répond : — Sois tranquille, je ne te toucherai pas. Tu as ajouté une raison, peu importe laquelle, mais je ne l’aurais pas fait… sauf si tu m’y avais invité. Discussion, sieste, petite balade, une journée merveilleuse le problème de drague étant réglé. Et en effet, il remarque que même dans les passages difficiles, elle ne lui tend que la main, ne s’appuie pas sur lui. De retour chez elle, elle l’a invité à monter. Soirée agréable qui ...
    ... s’est terminée assez tard. Nicolas est intrigué par les révélations de Christine. Elle est peut-être lesbienne, ou bien elle a eu une expérience malheureuse avec un homme. Le lundi matin, elle est venue, l’a appelé dans son bureau. Il y est allé, un dossier à la main. Aucune allusion à la sortie du week-end, elle est redevenue la patronne. Quelque temps après, elle l’a appelé dans son bureau, lui a demandé ce qu’il faisait le week-end, l’a invité à venir prendre un verre chez elle le vendredi soir. Enchanté, il a accepté. Pour tous ce n’était qu’un entretien professionnel. Quand il a sonné, la porte s’est ouverte immédiatement et elle l’a embrassé. Cet accueil lui a confirmé son amitié. Après quelques instants de conversation, elle a attaqué le point qui intriguait Nicolas. — Tu dois te demander pourquoi je déteste le contact des hommes, si je suis lesbienne. Eh bien non. Si je refuse tout contact, c’est à cause d’un évènement terrible qui m’est arrivé. J’essaie de surmonter ma répulsion, mais je n’y arrive pas. Je suis heureuse d’avoir trouvé un ami qui m’accepte telle que je suis.— Je suis ton ami, je n’ai pas à connaître les raisons de ta conduite. Disons que je te considère comme un copain, homme, donc pas de préoccupations sexuelles.— Oui, je t’ai invité ce soir, afin de ne pas t’empêcher de sortir demain, de draguer.— Non, je n’ai rien de prévu, sinon je te l’aurais dit. Ensemble, ils ont regardé un DVD. Assis dans le canapé, à la fin de la soirée, la tête de Christine ...
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