1. Sus à la culotte


    Datte: 02/10/2019, Catégories: noculotte, grp, Collègues / Travail hotel, caférestau, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme humour,

    ... vous serez tous concernés. Elle tient ce discours introductif debout, appuyée à la table directoriale puis la contourne et prend place à côté de Betty. Dès lors, gagnée de contagion, elle en adopte les tortillements et prend la pose tandis que le rang opposé se décompose. Rien, si ce n’est une lueur de défi, n’altère sa mine. Comment peut-elle rester concentrée se livrant à cet ensorcelant ballet de jambes ? Ils ignorent heureusement le temps consacré hier devant son miroir à peaufiner l’exercice et soigner la démonstration. Elle sent des yeux fiévreux embrasser ses chevilles, lentement, inéluctablement progresser sur ses mollets, de beaux mollets, certes un peu gras, mais admirablement galbés par les bas, enrober ses genoux d’une fervente caresse, puis grimper tortueusement au long de l’entrejambe pour muser sur cette voluptueuse frontière où la résille s’interrompt cédant la place à une douillette peau nue. Là, ils marquent la pause, semblant reprendre leur souffle avant l’ultime plongée. Elle déguste ces coups d’œil furtifs, un peu gênés par leur incursion dans l’intimité patronale et quand elle considère ses ouailles bien échauffées, patatras… elle ouvre tout grand l’éventail, affichant qu’elle se refuse les fastes d’uneTribade et expose son sexe nu juste paré d’un fin nuage de crins soigneusement apprêté. Le vent de panique halluciné est si ébouriffant qu’il décoiffe jusqu’à son minou dont chaque poil vibre tandis que des halètements enflammés effleurent son bouton de ...
    ... rose. C’est délicieux et elle découvre que le plus envoûtant des agréments de la culotte consiste à la retirer,qu’on ne vit vraiment que dans le regard des autres. Mlle Betty qui ne peut rien percevoir de la scène mesure néanmoins aisément les effets de la concurrence et son stylo échappe opportunément de ses mains afin de lui permettre de vérifier, partiellement, ses intuitions. Pendant la pause, Sébastienne Strumpf rejoint son bureau et fête l’évènement en s’offrant un bref, mais ardent onanisme. Elle qui craignait de perdre tous ses moyens dans cette situation, s’étonne, en reprenant la réunion, d’être galvanisée par une assurance inusitée. Ces verges distendant les braguettes stimulent sa verve et les mots lui viennent spontanément aux lèvres de la bouche comme inspirés par celles du sexe, ce qui n’est pas sans lui évoquer « Les bijoux indiscrets » de Diderot. Une seconde, elle imagine la mère supérieure, proviseur de son ancien lycée, ou papa Strumpf au rang des mateurs. Crise cardiaque garantie, paix à leurs âmes. À midi tapant, Mlle Strumpf quitte la rôtissoire et s’isole dans son bureau, abandonnant derrière elle une basse-cour caquetante. Mlle Betty s’empresse de la suivre et vient frapper à sa porte. Elle entre sans attendre la réponse, trouve sa patronne affalée dans son fauteuil, un verre de whisky dans une main et l’autre dissimulant son sexe. Un peu penaude, elle déclare : — Ah Sébastienne, vous leur avez cloué le caquet, ils en restent encore estomaqués ! Depuis ...
«1234...15»