1. Justine, Jérôme, Rex et la famille. (4)


    Datte: 03/10/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Justine, Jérôme, Rex et la famille. Ch4. La fessée Chaque fois que nous dormions ensemble, le réveil était toujours fabuleux : nous nous caressions avec délicatesse, nous nous léchions copieusement et faisions quelquefois l’amour. Ce matin là, après la séance de SM que ma sœur m’avait fait subir, j’en avais encore chaud aux fesses ; Justine voulait que je la surprenne ; il fallait que j’y réfléchisse... Je décidai d’aller chercher de quoi nous faire un petit déjeuner royal. — Justine, prépare le petit déj pendant que je vais à la boulangerie. Croissants comme d’hab ? — Oui, merci. J’enfilai un short et un tee-shirt et partis en courant en direction de la boulangerie. De retour à la maison, je constatai que Justine ne s’était pas levée et que rien n’était prêt. Je décidai de préparer notre petit déjeuner – à poil, bien évidemment – tout en réfléchissant à ce que j’allais bien pouvoir lui faire. Au fur et à mesure que les idées me venaient, ma bite prenait de la longueur et de l’épaisseur pour atteindre ses 23 cm de long et ses 5cm de diamètre habituels. Le petit déj était prêt, et moi aussi : j’avais une gaule d’enfer. J’apportai le petit déjeuner. J’ouvris la porte de la chambre de ma sœur et la découvris endormie sur le ventre, le cul à l’air et les jambes écartées : un véritable appel au viol ! Je pouvais contempler son trou du cul et sa chatte ruisselante de jus. Cette vision me donna des idées ; j’eus envie de lui foutre ma bite dans le cul. « Je veux que tu me ...
    ... surprennes ! » m’avait-elle dit. « T’inquiète, tu vas être servie ! » pensai-je. Petit à petit, un plan se dessinait dans ma tête. Je déposai le plateau sur son bureau et m’approchai du lit à pas de velours. Doucement, je posai mes mains sur ses fesses ; elle lâcha un soupir, ondula, s’étira comme une chatte et passa ses avant-bras sous l’oreiller en y enfonçant sa tête. D’un geste doux et régulier, je suivis le contour de son corps lisse et soyeux ; la rondeur de ses fesses, un pur bonheur... Je passai mon doigt dans sa raie, titillai son petit trou, puis je rendis visite à l’entrée de son intimité chaude et humide. Une pose sur son clito, un passage sur ses lèvres, une tentative d’intrusion d’un doigt dans son vagin. Je remontai sur son anus ; elle se tortilla dans tous les sens, ouvrit les jambes et gémit. Du bout des doigts je parcourais son dos, le haut de ses bras pour redescendre sur ses fesses, les caresser d’une main tandis que l’autre se préparait à s’abattre sur ce joli cul attirant comme un aimant. Rondes comme des ballons, ses fesses vibraient. À la première claque, elle sursauta et lâcha un petit cri. À la seconde, elle enfouit sa tête sous son oreiller. À la troisième, elle se tortilla en miaulant. Je bandais comme un fou ; plus je la claquais, plus je bandais. Elle m’avait supplié de lui faire mal ; ses fesses rosissaient de plus en plus à chaque coup. Elle susurra : — Oh ouiii... Encore... Vas-y, Jérôme continue ! C’est bon, fais-moi mal... — Alors, petite salope, tu ...
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