Justine, Jérôme, Rex et la famille. (4)
Datte: 03/10/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... en veux encore ? Tiens ! Pan, et pan ! Ma main droite s’abattait alternativement sur chacune de ses rondeurs ; les doigts de ma main gauche fouillaient son intimité et mon pouce son trou du cul. Au bout d’un moment de ce supplice, je suspendis mes coups, la pris par les cheveux pour la redresser et lui fourrai ma bite dans la bouche en l’obligeant à avaler mon vit. — Aujourd’hui, tu es mon esclave. Suce-moi ! Mais je ne voulais pas éjaculer trop vite. — Ça suffit, maintenant. Lève-toi, prends le plateau et descends-le dans la cuisine ; je te suis. Sans dire un mot, elle se leva, le regard brillant de malice, arrogante et provocatrice à la fois. Elle saisit le plateau et me précéda dans l’escalier. Je pouvais admirer le résultat de mon travail : les fesses rose vif de ma sœur n’étaient qu’un pur délice, leur balancement harmonieux ; sa chute de reins et son dos étaient pour moi un spectacle divin. Elle déposa le plateau sur le comptoir de la cuisine ouverte sur le séjour et se retourna vers moi. — Que veux-tu que je fasse, Maître ? — Tu vas déjeuner au comptoir, debout : je veux que ton cul soit disponible. — Vas-tu encore me fesser ? — Je ne sais pas. Peut-être, si tu en veux encore. — Oh oui ! J’en veux encore : je voudrais arriver à l’orgasme avec une fessée. — Alors, prépare-toi. Tu veux avoir mal au cul ? lui dis-je en la poussant vers le meuble. Sur le comptoir, maman avait laissé des pinces à linge. Une idée démoniaque me traversa l’esprit. Je saisis deux pinces et ...
... en mis une à chacun de ses tétons. Elle poussa un cri. — Installe-toi debout face au comptoir et déjeune ! lui ordonnai-je en lui appliquant une claque sur les fesses. Elle ne dit pas un mot. Face au bar, elle savourait un croissant pendant que je lui malaxais les fesses et les seins ; sa chatte était trempée. J’enfonçais mes doigts en elle pour récupérer son jus que j’étalais sur son anus ; elle s’agrippa au dessus du bar et se cambra, le cul bien en arrière : une invitation. Je lui susurrai à l’oreille : — Je vais t’enculer, petite salope. — Oh ouiii... C’est bon... Vas-y, frérot, explose-moi ! Je lui enfonçai mon dard pour lui bourrer le cul à fond ; elle criait de plaisir. J’enlevai les pinces pour les lui remettre à nouveau. Cramponnée au bar, elle fut prise d’un orgasme incroyablement fort. Je sortis de son cul pour entrer dans sa chatte et lui procurer un autre orgasme. À peine remise, je l’attrapai par les cheveux, la forçai à s’agenouiller, et j’éjaculai dans sa bouche et sur son visage. Elle en avait partout ; une partie dégoulinait sur ses seins. Elle se releva, me prit la tête à deux mains et me roula une pelle. Cette galoche au sperme avait un goût infâme. Elle s’agrippa à moi telle une chatte, plaça ses jambes autour de ma taille, se hissa, et fit entrer ma bite dans son cul. Elle gémissait et criait des « Putain, que c’est bon ! » puis elle reprit sa position face au comptoir, le cul en arrière. Elle récupéra ma semence à l’aide d’un croissant et le porta à sa ...