1. Ma danseuse


    Datte: 03/10/2019, Catégories: fh, couple, fépilée, danser, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, portrait,

    Elle a les pieds petits. Ils ne sont pas beaux. La danse les a usés, fatigués, déformés, endurcis. Ils ont des cals là où on ne s’y attend pas. Ils semblent de cuir, de granit, de bois brut. Mais leur cambrure à elle seule est pour moi une raison de l’épouser. Elle ne les aime pas. Ce sont des outils dont elle prend soin, sans tendresse. Elle les couvre de gaze, les masse, les soigne. Elle fixe avec précision les rubans de ses chaussons. Mais elle ne les regarde jamais pour eux-même. Moi, si. Je regarde ses pieds et je m’émerveille, parce qu’ils lui permettent de voler. Les toucher, je ne peux pas. Il y a toujours, quelque part, une blessure, une fragilité. Je ne veux pas lui faire de mal. Elle semble si fragile qu’un souffle la briserait. Elle a des jambes de marbre, lisses, fortes et sans défaut. Des jambes de bête fauve, dangereuse, dont les muscles roulent sous la peau. Quand elle marche, la terre tourne grâce à ses pas. Quand elle danse, ses jambes sont l’axe de l’univers. Elles sont douces à mes mains, douces à ma langue, douces à mon cœur. Ces jambes sont sa plus grande arme de femelle. Montée en amazone, mon sexe fiché en elle, elle contrôle parfaitement l’angle et le rythme de mon plaisir. Elle peut, à sa guise, me maintenir des heures au bord de la jouissance, ou au contraire me faire partir en quelques minutes. Parfois, son sexe se détache du mien, puis d’un mouvement souple du bassin elle le happe à nouveau. S’il me vient le désir de reprendre le contrôle en ...
    ... imposant un tempo de mes mains sur ses hanches, je sais qu’elle m’en fera perdre l’envie dès qu’elle le voudra, tant elle peut me rendre fou d’une simple ondulation. Elle a des fesses petites et dures. Des fesses de marbre rose, aussi interdites que celles d’une statue. J’ai un jour rêvé que, devenu minuscule, je me faufilais dans la fente de ces fesses et passais la porte interdite. Les sensations en furent si fortes que je revins à moi le ventre poisseux. Je la réveillai en allant me laver, et elle manœuvra si bien que je ne pus faire autrement que de lui raconter. Elle hocha la tête, et sourit. Je faisais bien d’en rêver, me dit-elle, et son air mutin me laissa penser que je n’accéderais à cet endroit secret qu’en songes. Elle a le sexe lisse, petit et étroit. Il semble fait de cette porcelaine si fine qu’elle en est translucide. Parfois, je prends peur. Mon doigt semble déjà trop pour un objet si délicat. La moindre caresse ressemble à un viol, et pourtant je sais à quel point il peut être vorace. Lorsque je l’ai connue, elle portait encore une fine bande de poils couleur de châtaigne. Puis il y eut ce ballet, qu’elle dansait nue et maquillée sur tout le corps. Je fus si jaloux du maquilleur, qu’elle finit par m’inviter à assister à la cérémonie. D’abord en peignoir, elle se laissait masser le visage avec une crème grasse. Elle me dit que j’avais raison d’être jaloux, mais de ce moment-là seulement, le seul qui était pur plaisir. Elle avait elle-même passé cette crème sur le ...
«123»