1. Une histoire folle (4)


    Datte: 04/10/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Je serrais Vanessa dans mes bras, tout contre moi ; j’étais toute pantelante. À genoux, nous nous faisions face. Elle m’embrassa passionnément et, petit a petit, je repris mes esprits et lui effleurai doucement les seins du bout des doigts. Toujours à genoux sur le lit, face à face, nous nous tenions par les mains, nous nous embrassions goulûment ; et même si je venais de jouir, mon corps était toujours aussi excité. Pour la première fois de ma vie, j’aimais une femme ; mais pas n’importe laquelle, s’il vous plaît ! Tout en nous embrassant, nous jetions des coups d’œil coquins en direction de mon père afin de voir ses réactions. Il se contentait de nous regarder nous aimer, tout simplement, mais sa grosse queue, toujours droite et encore brillante de la mouille de Vanessa indiquait que cela lui plaisait beaucoup. Moi, je continuais à jouer avec les seins de ma copine, du bout des doigts, passant sur les mamelons, agaçant les tétons qui bandaient. Je les lui pinçai entre le pouce et l’index, ce qui lui arracha un petit cri, étouffé par notre baiser langoureux, torride ou bien sauvage selon notre désir. J’arrêtai nos baisers, descendis du lit, et la plaçai doucement afin qu’elle puisse être face à mon père. Toujours à genoux sur le lit, les cuisses écartées, elle était magnifique avec ses petits seins qui pointaient, son ventre plat et son physique diabolique. Je remontai sur le lit et me plaçai derrière elle. D’une main, je repris les caresses sur chacun de ses seins, avec ...
    ... la même délicatesse, et de l’autre main je descendis doucement sur son ventre chaud. Sa respiration était saccadée ; ses mains prirent possession de mon visage pour nous embrasser tendrement. Ma main descendit encore pour arriver à la rencontre d’un pubis doux comme une peau de bébé. Elle prenait vraiment soin d’elle, ça se voyait, puis je finis par rencontrer sa chatte dégoulinante de plaisir. Elle gémit doucement à ce contact, et j’entrepris alors de la caresser tendrement, amoureusement. Car oui, je crois que je tombais également amoureuse de mon amie d’enfance. Ses gémissements étaient plaintifs, doux à l’oreille, étouffés par nos baisers, et m’invitaient à continuer mes caresses. Je la regardai doucement : ses yeux étaient mi-clos, sa bouche entrouverte. Je pensai que mes premières caresses lesbiennes faisaient leur effet, j’étais contente de moi. J’approchai ma bouche de son oreille : — Tu aimes, ma chérie ? lui murmurai-je doucement. — Oui, souffla-t-elle péniblement. Tu es très douée... J’exhibais Vanessa sans retenue à mon père qui avait quitté son siège pour se rapprocher de nous afin d’avoir un meilleur angle de vue du show lesbien qui lui était offert. Je le regardai alors d’un air vraiment vicieux. — Regarde un peu comme elle prend son pied ; regarde comme elle coule... lui dis-je doucement. Vanessa n’était pas inactive : elle me caressait les fesses. Deux de mes doigts écartèrent ses lèvres vaginales et un troisième se mit à lui caresser le clito, tout dur et ...
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