Une histoire folle (4)
Datte: 04/10/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... trempé de son huile intime. Tout à coup, elle trembla, hoqueta et se plaqua contre moi. Je lui léchai doucement le cou tout en continuant à regarder notre mateur adoré avec un air pervers ; elle se raidit dans un râle rauque, annonçant son délicieux orgasme qui trempa mes doigts. Je venais de faire jouir mon amie ! Et que ce soit mon père, Vanessa ou moi, tous les trois savions désormais que plus rien ne serait jamais comme avant. Je laissai Vanessa s’allonger sur le lit afin qu’elle puisse reprendre ses esprits ; moi, je me délectais de son jus sur mes doigts. Je me levai pour embrasser mon père. Pendant que nous nous embrassions, ma main prit sa queue et commença doucement à la branler. Rapidement, notre baiser s’arrêta et je m’agenouillai devant lui. Ma langue lécha chaque centimètre carré de sa grosse queue chaude et dure qui avait le goût de Vanessa : rien d’étonnant, vu la façon dont il l’avait prise tout à l’heure. Je m’attardai sur le gland violacé tout en le regardant amoureusement, ce qui ne manqua pas de lui plaire. Ma bouche l’accueillit et je le pompai délicatement, le sentant me caresser les cheveux. Je m’appliquais du mieux que je pouvais pour le sucer, le lécher tendrement, interrompant parfois ma fellation afin de lécher ou de gober complètement ses couilles, que je m’amusais à lécher simultanément. Je vis Vanessa s’agenouiller à côté de moi, et ensemble nous nous sommes mises à lécher le membre de tout son long en faisant les mêmes mouvements simultanément ...
... avec nos langues. Mon père appréciait, nous guidant avec des caresses sur les cheveux. Quand je le suçais, elle lui léchait les couilles. Quand elle le suçait, elle n’y allait pas de main morte car elle avalait toute la queue de mon père jusqu’aux couilles ; j’étais impressionnée : j’avais une pratiquante de la gorge profonde juste sous mes yeux. Elle gardait le membre dans sa gorge tandis que je m’appliquais à manger les couilles de mon père. Vanessa faisait sortir sa langue et moi la mienne, qui se rencontrèrent à nouveau. — Oh, les filles, vous êtes trop bonnes ; vous me faites la pipe de ma vie ! articula-t-il péniblement, emporté par le plaisir que lui procuraient deux bouches gourmandes comme les nôtres. Vanessa et moi arrêtâmes alors notre fellation, ne voulant pas que cela se termine si vite, et nous échangeâmes un nouveau baiser. — Vous êtes merveilleuses, les filles, dit-il en laissant retomber un peu la sauce. Ma chérie, allonge-toi sur le lit ; et Vanessa, ma puce, mets-toi sur elle : je veux vous prendre l’une après l’autre. Nous obéîmes. Je montai sur le lit, m’allongeai sur le dos, cuisses écartées et genoux repliés, et Vanessa me rejoignit. Elle se plaça au-dessus de moi, me faisant face, et bloqua mes jambes avec les siennes. Je l’enserrai alors avec mes cuisses. Mon père entra sans problèmes en moi et commença ses va-et-vient. Il me remplissait ; c’était délicieux ! Sa queue coulissait en moi avec une grande facilité, me procurant des sensations incroyables. ...