Confession d'un Maître ; La révélation (1)
Datte: 05/10/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... de plus en plus débridées, de plus en plus folles. Mes demandes devinrent plus fermes, plus directives, plus impératives… “- A poil!”, “- Suce!“, “- Donne moi ton cul!”. Son ardeur à obéir, à se laisser entraîner toujours plus loin me comblait. Elle me confiât aimer que je sois ferme, dur, et finalement, que mes mots soient crus, soient des ordres, que je m’impose à ma proie sans défense. Elle m’avoua rêver être mon esclave, mon jouet. Les choses finirent par déraper, par sortir de ce que nous imaginions être la norme. Alors que dans la vie courante, nous semblions être un couple d’adolescents normal bien que fusionné, dès que la porte de ma chambre se refermait, nous devenions autre chose. Elle était mon esclave, ma chose et moi son Maître, son Dieu ... “- A poil salope, fout toi à genou les mains dans le dos pour servir ton Maître”. Sans un mot, presque religieusement, elle s’exécutait rapidement, devançant mes envies, elle ouvrait la bouche, sortait sa langue pour m’honorer. Moi déjà nu, bandant et possesseur, je m’avançais et prenait sa bouche… me servant de la bouche de mon esclave comme d’un sexe à prendre, sans tenir compte d’elle, ni de ses envies, ni de ses sensations. Je rentrais en elle, maître de son corps, dominateur forçant la limite de sa glotte, entrant naturellement dans sa gorge. Pour contenir ses réflexes de rejets et ses hoquets, je maintenais sa tête de mes mains dans ses cheveux, sur sa nuque ou sur son front, lui ordonnant de garder ses mains dans le ...
... dos, de “fermer sa gueule de chienne” lorsqu’elle faisait mine de protester... Je me servais d’elle pour assouvir mes envies, littéralement pour me vider les couilles. Je lui faisais remarquer, que dans nos jeux elle était réellement à ma merci, qu’elle n’était là que pour me vider les couilles, pour me servir… Fièrement elle mouillait d’être ma vide couilles, mon sac à sperme… Elle dégoulinait réellement entre ses cuisses, en filets le long de ses cuisses… “- regarde Maître, je coule de te boire, de t’avaler, de t’appartenir entièrement, de ne plus être qu’un objet pour toi, un animal dressé, une chienne”. Je me penchai, passant mes doigts le long de ses lèvres, jouant de ses frissons sous le contact… recueillant de sa cyprine je la buvais à mon tour, Puis la faisait goûter son jus… ”- Bois aussi”, et je rentrais mes doigts dans sa bouche, loin, plusieurs doigts, parfois presque ma main entière “- ouvre ta gueule de pute dégoulinante pour ton Maître”... je jouais à déformer son visage, ses joues. A présent je sais que ce simulacre de fist humiliant était un prémisse… J’adorais aussi la prendre bien sur, mais je trouvais également incroyablement excitant de la laisser en manque.. de la forcer à rester tremblante d’envie, jouant à la caresser, à lui ordonner de se mettre à quatre pattes et attendre que je la prenne… Je lui faisais prendre les poses les plus obscènes. “- Ouvre ta chatte avec tes deux mains que je vois la pute en chaleur que tu es réellement, rentre tes doigts ...