Confession d'un Maître ; La révélation (1)
Datte: 05/10/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... jeux elle ne serait que ma chose, mon jouet. Cela la comblait de n’être qu’une chienne au pied de son Maître, plus besoin d’assumer ses phantasmes pour les réaliser, juste à se laisser sombrer plus bas, à accepter de subir, à se livrer entièrement pour jouir pleinement de ces moments. De mon côté, j’ai découvert que guider, contrôler, diriger nos ébats, assumer de choisir les positions, les contraintes, les douleurs, imposer ma jouissance et mes perversions, disposer de ma partenaire, en faire ma chienne, ma chose, mon jouet, bref assumer d’être le Maître des plaisirs et des douleurs, possesseur de son corps, son guide vers l’abîme de la perversion était ce que j’aimais dans notre relation. Ces instants d’abandon mutuel étaient ce que nous attendions tout au long de la journée. Nos rapports en dehors de ses moments nous semblaient fades. Aujourd’hui encore, en période Vanille, je ressens régulièrement le manque, le vide qui me pousse à retrouver ces sensations, ce vertige de marcher le long d’une crête...au sommet du plaisir, si proche du gouffre de la perversion, à guider ma soumise sur les deux faces de sa jouissance… entre plaisir et douleur. Ce sont ces manques, la fadeur des moments sans nous voir ou nous toucher qui nous ont poussés à poursuivre en dehors de la chambre, hors de l’abri des murs clos nos jeux pervers. La première idée, je m’en souviens fut pour moi de choisir ses tenues nocturnes… Je lui ai ordonné de dormir avec sa culotte baissée sur les genoux lorsque ...
... qu’elle devait dormir chez elle. Ce geste innocent devait dans mon esprit la rabaisser, la faire revenir à l’état de petite fille dépendante, immature mais surtout obéissante à son Maître jusque dans son sommeil. Elle m’avoua adorer cette idée… Pour poursuivre, je lui imposais de tracer un point rouge au feutre indélébile sur son périnée. Ce sceau invisible pour tout le monde, était la marque de son appartenance à son Maître. Selon elle, une chaleur irradiante partant de ce point lui rendait le sommeil paisible impossible, comme si j’y tenais mon doigt en permanence, l’obligeant à se doigter profondément toute la nuit, à se pincer les tétons et le clitoris, et même à se griffer les cuisses ou les seins… à se fesser… comme si je l’observais. Ce point m’a excité, j’en bande encore. La savoir s’ouvrir et s’offrir à moi en dehors de ma présence… nous franchissions des étapes… J’ai pris conscience d’une éducation mutuelle… et je me suis vu comme un Maître dressant son esclave. Assumant tous les deux nos rôles, qui devenaient nos vraies vies, je décidais de la pousser plus loin, de continuer le dressage, et de jouer avec son masochisme et ses frustrations. A partir de ce jour, elle ne devait plus jouir que sur mon ordre, et si je n’étais pas présent, pas de jouissance, mais par jeux je lui imposais de se caresser tout de même, par exemple dix fois vingt secondes espacées de vingt secondes pendant les quelles elle devait pincer fortement ses tétons. Avec une interdiction formelle de ...