1. A découvrir...


    Datte: 06/10/2019, Catégories: Hardcore,

    ... cet aveu), mais plus encore…D’une oeillade délicieusement polissonne, elle m’invita à poursuivre…— Je souffre de coprolalie…— Ce n’est pas une maladie, décréta-t-elle immédiatement…— Vous savez ce que c’est ?— Bien sur, vous me prenez pour une idiote ? D’ailleurs, j’y suis moi-même assez portée et je dois vous dire que… – un coup d’œil circulaire - j’adore cela… et je m’appelle Marie-Laure.Du coup, c’était moi qui me trouvais légèrement déstabilisé. Elle me regardait d’un sourire malicieux..— Alors comme çà vous aimez les mots cochons et crus aussi ?— Tout ce qui a de plus cochon et indécent …— Dévergondé et licencieux ?— Impudique ?— Obscène…— Hard pour tout dire ?— Absolument.— Les dire ou les entendre ?— Les deux bien sur…Nous étions tous deux et me penchai vers elle, humant de nouveau la fragrance de son eau de toilette, et peut-être aussi, les premiers phéromones de l’attirance sexuelle etc…— Vous me faites bander, Marie-Laure…— J’aime à imaginer votre queue qui grossit sous votre braguette Chris, j’en mouille ma petite culotte…— Vous en portez donc une ?— Oh, un string d’une totale discrétion tellement il est arachnéen. C’est comme si je n’en avais pas.Je vis son regard se baisser sur ma braguette. Un sourire marquer délicieusement ses lèvres.— C’est rare une femme qui aime parler cul aussi ouvertement.— C’est que je suis une belle cochonne vous savez.— Je commence à me rendre compte…Vous êtes très libertine alors ?— Plus encore…— Libidineuse ?— Plus encore…— Dépravée ...
    ... ?— Plus encore…— Salope ?— Hmmm…osons le mot.— Je suppose que vous portez des bas ?— Bien entendu et avec un porte jarretelles vous aimez ?— J’adore.— Cà vous fait bander encore plus ?— Ma bite ne tient plus dans mon slip, Marie-Laure.— J’aime à l’imaginer.— Cà vous fait mouiller ?— Comme une fontaine…Ma culotte est trempée…— Vous est-elle encore utile ?Sourire…— Certes non.— Retirez-la…Elle projeta son regard alentour, fis deux pas pour se dissimuler derrière une plante et d’un geste prompt, glissa un bras sous sa jupe et fis descendre sa fine culotte. Soulevant une jambe puis l’autre, elle me tendit le tissu de dentelle.Je portais aussitôt ce précieux trophée froissé dans ma paume sous mes narines, humant la délicieuse exhalaison d’une incontestable excitation, d’un désir manifeste, au plus haut degré de la lubrification…— Vous l’aimez ?— Quoi ? votre culotte ?— Ma cyprine…— Du nectar, de l’ambroisie, la mouille la plus exquise…— N’en jetez plus…Je continuai à sentir ce joli string et même à en lécher l’intérieur, le regard coquin de Marie-Laure me remerciant de ma gourmandise…— Vous êtes un vrai vicieuse Marie-Laure.— Et vous un cochon.— Une pétasse.— Un vicelard.— Gamahucheuse.— Fouteur.— Chienne lubrique.— Hum j’adore. Débauché.— Salope.— À votre tour, me dit-elle soudain…— Quoi à mon tour ?Comprenant son dessein, je jetai moi aussi un œil alentour, et me rendis compte que nous étions effectivement à l’écart et qu’une longue table nous dissimulait en partie aux yeux de la ...
«1234...»