1. A découvrir...


    Datte: 06/10/2019, Catégories: Hardcore,

    ... salle.— Eh bien, montrez-moi votre bite.— Et pourquoi ?— Je vous ai donné ma culotte…— D’accord, mais je n’ai rien vu…— Je ne peux pas vous montrer mon cul, ma jupe est trop droite. Remarquez que je ne le refuse pas, bien au contraire, mais c’est impossible…— D’accord, un sein alors ?Elle sourit, complice, et se tournant vers le jardin, dos à la grande salle, elle écarta sa veste de tailleur et laissa apparaître un superbe soutien-gorge demi balconnet, assorti au string, tout en fine dentelle blanche. Elle baissa d’un geste les deux bonnets et je vis apparaître ses globes parfaits à l’aréole formée et manifestement excitée.— Alors, que pensez-vous de mes gros nichons ?— Vos nibards, Marie-Laure, damneraient un saint…D’un gracieux et très érotique mouvement de son index, elle caressa un mamelon turgescent tout en me gratifiant d’un regard en coin d’une totale lubricité.La coquine laissa ses seins hors de leur prison de dentelle se contenant de refermer la veste de son tailleur, me permettant un panorama très ouvert sur la vallée de ces délices mammaires.— Alors, vous me la faites voir votre grosse queue ?C’est ce moment que choisit pour passer près de nous une jeune serveuse blonde, qui ne dus rien manquer de cette saillie, si l’on peut dire, de Marie-Laure.Nous reprîmes l’un et l’autre une coupe de champagne à disposition sur le plateau, tandis que la serveuse, le rouge aux joues, ne pus s’empêcher de baisser son regard vers l’endroit stratégique de ma personne.La décence et ...
    ... les contraintes de son service ne lui permettaient pas rester davantage mais je crus percevoir qu’elle nous quittait avec un zeste de regret.— Cette petite salope aurait bien voulu rester dit Marie-Laure… Alors, vous la sortez Chris cette pine que je puisse enfin la voir ?Quelque peu emprunté finalement devant la tournure des événements, mais finalement gagné par notre commune fièvre polissonne, je dézippais ma braguette et d’un geste aussi discret que possible, dos à la salle, j’extirpais mon engin bandé à mort aux yeux de Marie-Laure.Elle ne fit pas un geste pour la toucher. Elle matait intensément ce gourdin déployé devant elle.Il y avait de la tension dans l’air et la situation était particulièrement excitante.— Je serais heureuse de vous la sucer, de vous pomper et de lécher vos couilles.— Vous aimez tailler une pipe ?— Oui, un vrai délice et j’avale tout le foutre vous savez. Mais à une condition seulement…— Euh oui… laquelle ?Elle se rapprocha de moi et glissa à mon oreille, frôlant cette fois de sa main l’engin exposé.— Que vous me léchiez la moule ensuite ou en même temps, j’adore le 69.— Je pense pouvoir répondre favorablement.— Et ensuite ?— Ensuite quoi ?— Eh bien votre langue, vos doigts, votre grosse pine, j’ai bien envie de tout çà dans mes orifices…— Tous ?— Tous sans exception confirma Marie-Laure souriant ingénument.— Vous faîtes partie des enculées alors ?— J’en suis très fière.— Remarquez, moi aussi.Elle me jeta un regard d’un exquise friponnerie.— Chris, ...
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