Bienvenue au paradis !
Datte: 06/10/2019,
Catégories:
f,
ff,
fbi,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
conte,
délire,
fantastiqu,
merveilleu,
... j’attends impatiemment le second, celui qui me mettra vraiment sur orbite. Alors, c’est à mon tour d’ouvrir sa braguette, la tâche n’est pas facile tant l’engin qui s’y cache semble gros et rigide. Bonne nouvelle, me dis-je, j’avais une certaine appréhension – une appréhension certaine, en fait – à le sucer s’il en avait été besoin. À force de contorsions et en prenant bien garde de ne pas le blesser, je parviens enfin à extraire l’arme de son étui. L’engin est de belle taille, je le prends délicatement en main, et je commence un lent mouvement de va-et-vient. Raisonnablement, dans ce genre de plan, il est de bon ton de commencer calmement avant d’envoyer les chevaux. Oui, ben les chevaux, je ne risque pas trop de les envoyer, et cette longue giclée de foutre qui vient de me frapper entre les seins en est la preuve. J’aurais dû m’en douter, gaulée comme je suis et avec le comportement d’affamée que je viens d’avoir, mon zouave n’a pas réussi à se retenir. Bien entendu, il a immédiatement le moral dans les chaussettes, au sens propre comme au sens figuré. Cette situation, tous les hommes la connaissent pour l’avoir vécue au moins une fois, entre le matériel qui se la joue immédiatement aux abonnés absents, la honte que l’on ressent vis-à-vis de sa partenaire et la rage que l’on a envers soi, il vaut mieux ne pas être au quinzième étage et que la fenêtre soit fermée sans quoi on essaierait bien d’apprendre à voler. L’expression « con comme une bite », n’est pas basée sur du ...
... vent ! Bien entendu, j’essaie de relativiser les choses. — Ne t’inquiètes pas, ça arrive à tout le monde. Ce disant, à grands coups de poignet mais sans trop y croire, j’essaie de remettre sa mécanique en marche, mais rien n’y fait. Au bout de quelques minutes, je lâche : — Bon, ben tant pis, je crois que c’est râpé pour cette fois. Tu vas me donner ton numéro, on se rappellera. Un quart d’heure plus tard, alors que je rentre chez moi, je repense à ce que mon blaireau en blanc m’a dit tout à l’heure « trouve les réponses à tes questions ». La veille, je me demandais comment un mec normal réagirait devant l’un de ces fantasmes à deux jambes en me disant que, personnellement, je ne tiendrais pas longtemps. Eh bien, c’est confirmé, je ne suis pas le seul, et je ne peux pas dire que cela arrange mes affaires. ---ooooOoooo--- — Salut Michelle, ça va ?— Pas mal, et toi ? Eh ben dis donc, tu es à tomber. En fait, je me suis habillée comme la veille. Un autre tee-shirt, identique mais d’une autre couleur, soutif – je persiste à penser que c’est n’importe quoi, vu le peu que j’ai à mettre dedans – une autre culotte – là encore, je n’arrive pas à me faire à l’idée qu’elles sont à peine plus grandes que celles de ma fille, qui n’a pourtant que dix ans – et mon jean. Par contre, cette fois, j’ai mis des hauts talons, et il faut reconnaître que ma silhouette s’en trouve passablement changée. — Merci… Ça me va droit au cœur. Un peu plus tard dans la matinée, le boulot est plus calme. Tout en ...