Bienvenue au paradis !
Datte: 06/10/2019,
Catégories:
f,
ff,
fbi,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
conte,
délire,
fantastiqu,
merveilleu,
... sirotant un café, Michelle et moi devisons. — Dis-moi, tu sembles bien connaître Manu, il me semble ? J’esquisse un sourire un peu pincé. — On peut dire comme cela.— Alors, t’a-t-il parlé de mes infidélités ? Cela fait une éternité – au moins – que je connais Michelle, que je la côtoie tous les jours. Bon, jusque-là, c’était dans un autre corps, mais tout de même. En attendant, si ma collègue de bureau était une escaladeuse de braguette, il me semble que je serais au courant. — Pas vraiment, il semble plutôt que de ce côté-là, tu es plutôt du genre rigoriste, peut-être même un peu coincée. Elle sourit. — Eh bien, figure-toi que depuis que je suis mariée, je n’ai jamais couché avec un autre homme que mon mari. Déjà, qu’elle me parle de sa sexualité, voilà qui est nouveau, elle ne se serait jamais livrée à mon double masculin. Mais qu’elle me dise en plus simultanément qu’elle est infidèle tout en ne couchant pas avec d’autres hommes, j’avoue que je ne comprends pas. — Par contre, susurre-t-elle avec un regard enjôleur, quand une jolie fille passe dans les parages, je ne dis pas non. Soudain, tout s’éclaire. Je souris. — Dis-moi, ma chère Michelle, tu ne serais pas des fois en train de me proposer la botte ?— Non, tu crois ? répond-t-elle d’un air innocent.— Et c’est toujours aussi direct entre filles ?— Souvent, oui. Je suis en train de te dire que j’ai envie de toi, pas que j’ai envie de quitter mon mari pour refaire ma vie avec une poupée blonde qui pourrait quasiment être ...
... ma fille. Pour toute réponse, je l’embrasse à pleine bouche. Elle me rend mon baiser. — Ce soir, rendez-vous sur le parking de l’hypermarché vers huit heures. Ça te va ?— Tout à fait. Mais que vas-tu dire à ton mari ?— Rien du tout. Je vais juste lui dire que je vais voir une copine. Il comprendra. Vingt heures pétantes. Lorsque j’arrive à pied sur le fameux parking, je reconnais du premier coup d’œil le monospace familial garé le long de la grille. Le tableau que je découvre alors me sidère : elle est toujours aussi bien coiffée, son maquillage est juste un peu plus marqué qu’à l’habitude, mais pour le reste, elle est assez loin de la collègue sérieuse que je connais. Robe noire qui lui arrive à mi-cuisse, décolleté jusqu’au nombril dévoilant une bonne partie de sa poitrine, hauts talons, bas noirs, elle est ravissante et aussi terriblement sexy. — Tu es très belle, vraiment. Mais ton mari t’a laissée sortir dans cette tenue ?— Il est au courant, ne t’inquiètes pas. Bon, on y va ? Dix minutes de route, un chemin creux au beau milieu des champs, et un champ de blé qui ne devrait plus être long à être moissonné. Elle sort une couverture, et l’allonge sur le sol, au beau milieu des épis. — Notre alcôve, belle enfant. Si vous voulez vous donner la peine de vous asseoir… Trois minutes plus tard, je suis nue. Michelle a une telle technique pour me caresser les seins, mélange subtil de poigne et de douceur, une telle manière d’en lécher les pointes que je suis déjà prête à exploser ...