1. Rita


    Datte: 08/09/2017, Catégories: fh, inconnu, collection, volupté, fdomine, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, portrait,

    ... obligations professionnelles avec ma secrétaire restée à l’autre bout de la France et m’être détendu sous les jets brûlants d’une douche réparatrice, je m’apprêtais à ressortir pour m’enquérir d’un restaurant, quand deux coups discrets étaient frappés à ma porte. — Oui ?— Monsieur ! Puis-je entrer ? Par réflexe, j’avais mis le loquet. J’ouvrais l’huis et me trouvais nez à nez avec Rita. Rita en civil ! J’avais un peu de mal à la reconnaître. Elle avait troqué sa tenue de travail contre un tailleur beige clair, un chemisier assez transparent laissait apercevoir sa gorge qui avait ma foi un joli volume. Elle était discrètement maquillée, et tandis qu’elle me verbalisait tout à l’heure, je n’avais pas remarqué qu’elle était blond cendré, que ses lèvres étaient fines, son nez aquilin et ses yeux gris. Elle était belle ! Une de ces femmes sur laquelle tout homme normalement constitué se retourne, sauf quand un uniforme de police municipale la vêt. Là, devant moi, en civil, elle avait rajeuni, avait adouci ses traits, mais ses yeux restaient rieurs et semblaient même s’amuser de la situation. — J’ai compris que vous étiez un étranger, ici, un touriste et mon oncle m’a expliqué ce qui venait de vous arriver. Alors, comme je suis célibataire, j’ai pensé que je pourrais vous faire découvrir la cuisine locale. Dit avec l’accent du sud, sur un ton aussi amical et avec la rapidité de celle qui a dû prendre son souffle et réciter son texte en montant l’escalier, cette invitation ...
    ... tombait à pic. Je la trouvais même excellente. La compagnie de cette jeune femme n’était pas pour me déplaire, même si dans la journée elle portait ceinturon et matraque et semait ses papiers verts sur les pare-brise de contrevenants comme moi. Bref, si elle aimait jouer les bons Samaritain envers quelques touristes en perdition, après ses heures de boulot, c’était un problème qu’elle devait savoir assumer. La soirée a été chaleureuse, enjouée. L’ambiance de la petite taverne s’accordait avec les décorations hispanisantes et ce qu’elle servait dans les assiettes. La paella était copieuse et succulente, le vin léger, fruité et frais. Les tapas de l’apéritif emporte-gueule et la sangria gouleyante à souhait. Après le second verre, Rita m’avait raconté presque toute sa vie, à l’allure d’une mitraillette. Et plus elle parlait, plus son buste se penchait au-dessus de notre table, et plus elle se rapprochait de moi. En dessous, ses pieds, ses genoux exécutaient les mêmes rapprochements vers les miens. Et alors que le service renouvelait l’apéritif, ses pieds s’emmêlaient autour des miens. Ils étaient nus, chaud, doux et très agiles. Le contact m’a d’abord surpris. Mais l’esprit un peu ralenti par les premières vapeurs de l’alcool, je me laissais faire, incitant même la caresse en déplaçant mes pieds vers elle. Alors que le plat nous était apporté, les yeux pétillant de malice, Rita abandonnait son verre pour approcher sa main de la mienne et au-dessus de la table – qui n’était pas bien ...
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