1. Rita


    Datte: 08/09/2017, Catégories: fh, inconnu, collection, volupté, fdomine, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, portrait,

    ... large – elle la posait sur la mienne. Là, je la contemplais, l’œil rêveur et soudain intéressé. C’était, à mon souvenir, la première fois qu’une jeune femme me faisait le coup de la main au-dessus de la table. Bref, je me faisais bel et bien draguer et trouvais la chose plaisante et agréable. Pour une fois que je n’avais pas à craindre la moindre rebuffade, le moindre refus. J’allais honteusement en profiter. Elle mangeait comme elle parlait : vite. D’ailleurs, elle ne mangeait pas, elle engouffrait à grande vitesse, au point que je ne cessais de la contempler. Si j’aime les femmes qui ont de l’humour, j’apprécie encore plus quand elles montrent de l’appétit. Et là, j’étais largement récompensé. Voilà une soirée qui se présentait sous les meilleurs auspices, même si cette journée s’était achevée sur un report de rendez-vous qui m’avait fait plus que pester et sur une amende méritée. Là, devant le spectacle de Rita face à son assiette, jouant à la « bébête qui monte » sur mes tibias avec ses pieds nus, chauds et indiscrets, alors qu’elle me triturait la main avec la sienne et m’offrait la vue de plus en plus plongeante sur sa gorge… il y avait de quoi fantasmer et se réjouir pour la suite. Après que j’eus réglé l’addition, elle m’a entraîné vers un bar pour boire le verre de l’amitié… L’ambiance y était aussi chaude que Rita. Elle a dû jouer des coudes pour nous obtenir deux places dans un coin du comptoir. Elle semblait chez elle, ici. En tout cas, à peine étions-nous ...
    ... coincés contre le zinc que le garçon déposait devant elle, avec autorité et sans la questionner, une bouteille assortie de deux verres. — C’est un alcool espagnol. Tu connais ? a-t-elle été obligée de me crier à l’oreille, tant la sono était puissante. D’un signe de tête, je lui indiquais que je ne connaissais pas, pendant qu’elle me servait une grande rasade d’un liquide verdâtre, presque émeraude. L’odeur était agréable, le goût en bouche suave, mais seulement après avoir évaporé la sensation de brûlure causée par la force de l’alcool. Serrés l’un contre l’autre, je ne pouvais ignorer les rondeurs des hanches et des cuisses de Rita. Hanches qui roulaient au rythme d’une rumba qui passait en boucle. Je n’avais pas encore fini mon verre que je sursautais : une main ferme, chaude me claquait la fesse, et des doigts, nerveux et agités, l’empaumaient comme pour en évaluer la fermeté. C’était Rita qui, sans honte, me mettait la main aux fesses ! J’en restais bouche bée. Là, c’était réellement la première fois de ma vie que je subissais pareille « agression ». Mais je n’ai rien dit. Et le second verre à peine avalé, Rita se tournait vers moi, avec un large sourire et me collait ses lèvres sur les miennes. Sa langue n’eut pas beaucoup à forcer pour ouvrir ma bouche et elle me roulait un patin d’enfer, aussi chaud que l’alcool qu’elle me faisait ingurgiter. Collés contre mon buste, ses seins amollis semblaient être devenus réactifs à mon contact. Bref, elle n’était pas chaude, la Rita, ...
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