1. Rita


    Datte: 08/09/2017, Catégories: fh, inconnu, collection, volupté, fdomine, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, portrait,

    ... lit qui, à mon grand contentement, ne grinçait pas. Alors Rita est venue se coller à moi. Elle aussi s’était déshabillée. Contre moi, je sentais les courbes voluptueuses de son corps chaud. À mon tour de m’occuper d’elle. Je commençais par lui rendre langoureusement ses longs baisers. Sa bouche était toujours humide de moi, mais elle acceptait avec soumission que je la pénètre. Sa langue se faisait accueillante, me faisant les honneurs de la cavité buccale qu’elle habitait. Par petites lapées, j’allais lui titiller l’arrière des dents, signes prémonitoires de ce que je m’apprêtais à lui faire subir plus bas. En même temps, mes mains pouvaient librement se promener sur son corps. Ses seins, volumineux à souhait, étaient dotés de tétons largement en érection. Dans le noir, je ne pouvais qu’imaginer leurs pointes cylindriques, dures qui tressautaient à chaque passage de mes doigts. Et à chaque passage, les soupirs de Rita se faisaient plus profonds, plus forts. Sans lâcher l’agacement de la pointe de ses seins, une de mes mains descendait vers son ventre. Au passage, elle le creusait pour m’inciter à aller plus bas. Mes doigts rencontraient une large toison pubienne, dense et frisottée, puis les poils s’interrompaient brutalement pour laisser une vulve nue, douce, satinée. Rita était adepte de l’épilation, ce qui devait mettre en relief le charnu de son abricot sur lequel je distinguais, étalées et fripées, grasses et humides, ses deux lèvres déjà ouvertes qui n’attendaient que ...
    ... moi. Mes doigts glissaient dans cet antre chaud pour aller débusquer le clitoris. Ils n’eurent pas beaucoup de difficultés à le faire sortir de ses replis de chair qui lui servaient de refuge. Déjà il pointait fièrement son petit gland velouté. En quelques coups d’ongle, légers, il redressait encore plus sa tête en quête de plaisir et cette douce manœuvre faisait soupirer Rita. Puis, mes doigts continuaient leur descente vers l’entrée et l’intérieur de sa cavité pour aller entamer un grattage en règle de son point G. L’humidité et la chaleur ambiante, l’exacerbation provoquée par mon intrusion lui arrachaient ses premiers grands émois et, de plaisir, elle m’emprisonnait la main pour calmer la jouissance qui montait dans son ventre. Dès que ma main retrouvait un semblant de liberté, mes doigts jouaient de plus belle en elle, allant et venant, grattant la paroi supérieure pour lui arracher les premiers cris de jouissance qu’elle étouffait dans l’oreiller. En même temps, elle me trempait la main de son excitation qui ruisselait de son pertuis et descendait vers son anus, nouvelle invite à explorer cette partie de son corps. Avec quelques contorsions, j’allais caresser l’anneau plissé de son anus, humide et déjà ouvert, avant de vriller doucement un pouce raide tout en continuant à masturber l’intérieur de son antre. Le cri qu’elle a émis a bien dû réveiller tout l’hôtel et une partie de la rue. Mais elle ne semblait pas consciente de cet état de fait. Elle ne cessait de réclamer ...
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