Consolatrice improvisée
Datte: 08/10/2019,
Catégories:
fh,
alliance,
douche,
massage,
intermast,
nopéné,
regrets,
extraconj,
... Annelise. J’entre la première sous le jet chaud, ça me fait beaucoup de bien, surtout avec mon studio un peu froid. Baptiste entre à son tour. Il ne perd pas de temps : la seconde suivante, il caresse mes fesses ruisselantes. Je dois reconnaître que ça me fait aussi beaucoup de bien. J’aime qu’on me caresse, qu’on me désire. Je ne suis pas en pénurie de bonshommes, mais celui-là est un peu particulier : il a quand même hanté mes nuits d’ado. Et ça, je ne suis pas prête à le lui avouer. Il s’empare du gel douche et commence à me savonner sensuellement le dos. Même si j’estime qu’il va un peu plus loin que de me caresser les fesses, je le laisse faire, surtout quand il entame un délicieux massage de mes épaules ! Je lui fais quand même remarquer : — Je ne savais pas que mon petit cul remontait si haut…— Moi non plus, tu as une anatomie particulière…— Gros crétin ! Mais je le laisse toujours faire. Ma résistance s’affaiblit au fur et à mesure qu’il me masse. Une question me turlupine, je me décide de la poser : — Dis-moi, Baptiste, tu faisais ce genre de massage sous la douche à ma sœur ?— Hum-hum… ça te plait ?— Je serai la dernière des idiotes à dire le contraire. Eh bé, elle en a eu de la chance, ma frangine !— Heureux de te l’entendre dire. Sache pour la petite histoire qu’elle n’appréciait pas toujours…— Tu déconnes !? Elle n’aimait pas ? Elle n’aimait pas être massée ?— Non, ça lui arrivait de ne pas aimer… Je préfère ne rien dire. Ma grande sœur est décidément une ...
... grande crétine ! Moi, je serais presque capable de tuer pour qu’on me masse de la sorte au moins une fois par semaine ! Je me laisse aller sous ses mains expertes. Entre ce type de massage et faire l’amour, je ne suis pas certaine que je choisirais la deuxième option, c’est dire ! Soudain, Baptiste cesse son massage, je suis un peu triste. Mais la suite l’est nettement moins, car il m’enlace se plaquant contre moi. Je sens alors comme une barre bien dure s’incruster le long du sillon de mes fesses, tandis que deux mains se referment sur mon ventre. Je proteste mollement : — Je peux savoir ce que tu es en train de faire ?— Juste un gros câlin… Dit comme ça, c’est vrai qu’il serait idiot de refuser, même si je sens quelque chose devenir de plus en plus ferme et dur du côté du bas de mes reins. De plus, je ne suis pas non plus une oie blanche, et je ne déteste pas apprécier sur ma petite personne la démonstration de l’effet que je peux faire sur un homme normalement constitué. Et puis sentir un homme contre soi, c’est toujours très agréable, surtout quand une bonne eau chaude vous enveloppe de sa douce moiteur… Si nous étions sous les tropiques, en bord de mer, sous une pluie chaude en soirée, ce serait même le paradis ! Lentement, les larges mains, qui caressaient mon ventre, remontent vers ma poitrine. En peu de temps, elles capturent mes seins, tandis que des lèvres brûlantes s’activent le long de mon cou. Je sais que je devrais refuser, mais j’ai envie d’être désirée, c’est ...