1. Consolatrice improvisée


    Datte: 08/10/2019, Catégories: fh, alliance, douche, massage, intermast, nopéné, regrets, extraconj,

    ... tellement bon et ça me fait un bien fou ! Alors qu’il me masse les seins, qu’il joue avec mes tétons, Baptiste commence à se frotter lascivement contre mes fesses. Je nourris quelques appréhensions : faire des minauderies, des frottis-frottas, pourquoi pas, mais aller plus loin, je ne veux pas. À prime vue, mon partenaire de douche semble l’avoir compris : — Ne t’inquiète pas, Annelise. Tout ce que je souhaite, c’est pouvoir te caresser et jouir à nouveau de ton mignon petit corps si attirant.— J’espère que tu tiendras parole…— Tu m’as fait jouir tout à l’heure, et j’ai envie de te rendre la pareille ; un échange de bons procédés, comme on dit… ça te dit ? Je ne réponds rien, je suis à nouveau partagée. Oui, j’ai envie. Non, je suis sa belle-sœur. Lâchement, je le laisse décider à ma place, me défaussant de toute responsabilité. Sa réponse muette ne tarde pas : des doigts aventureux se glissent dans la fente humide de ma chatte offerte. Très vite, ces doigts inquisiteurs trouvent ce qu’ils sont venir chercher. Ils entament une délicieuse agacerie sur mon clitoris en émoi ! Ça fait peut-être un bon bout de temps que Baptiste n’a pas fait l’amour à une femme, mais il n’a pas oublié le mode d’emploi ! Je me tortille, tellement l’effet est puissant ! Mais il ne relâche pas sa pression ni son étreinte. D’ailleurs, je n’ai nulle envie de m’enfuir. Ses doigts virevoltent autour de mon bouton ultra-sensible, c’est bon, c’est délicieux, ça fait même un peu mal, mais pour rien au ...
    ... monde, je ne chasserais sa main de mon intimité ! Tandis que mon visage ruisselle d’eau chaude, que mon corps frémit d’aise, que mon bas-ventre est si brûlant, il murmure à mon oreille : — Laisse-toi aller… je veux entendre le son de ta voix quand tu jouis, je veux entendre tes petits cris… À ces mots susurrés d’une voix rauque, je cède, je sombre, je jouis comme une petite folle tandis qu’il éjacule sur mes fesses. Nos plaisirs synchronisés et en harmonie décuplent nos sensations, et pour ma part, j’ai l’impression de décoller très haut, plus loin peut-être que le septième ciel. C’est inédit pour moi, mais je ne vais certainement pas bouder mon plaisir et je m’abandonne totalement à cette jouissance qui fuse en moi dans tous les sens, tel un long et bon feu d’artifice ! Puis lentement, le calme revient, telle la mer qui se retire. Nous nous lavons mutuellement, comme si c’était parfaitement naturel, voire inné. Puis la douche achevée, nous nous séchons réciproquement, tel un couple ayant des années de cohabitation. Je surprends à trouver tout ça évident, spontané. Comme le chauffage n’est toujours pas réparé, nous nous habillons rapidement. Il remet ses vêtements, tandis que je me contente d’un chaud peignoir bien épais. Baptiste me capture dans ses bras pour déposer un chaste baiser sur mon front encore légèrement mouillé : — Dommage que tu ne sois pas ta sœur… je veux dire, dommage que tu ne sois pas celle… ah zut, je ne sais pas comment tourner ma phrase sans passer pour un ...