1. Le Ruisseau


    Datte: 09/10/2019, Catégories: 2couples, couple, cocus, danser, amour, pénétratio, fdanus, hdanus, échange, jeu, entrecoup,

    ... embrassé.— Cochon et cela suffit à te faire bander.— Il y a aussi que je savais que tu faisais un peu la même chose avec son mari. C’est terriblement érotique, tu ne trouves pas ?— C’est vrai. Alors on fait quoi, maintenant ? J’adore cette question. Elle signifie que Marie veut bien continuer. — Et si c’était toi qui décidais ? Par exemple, enlever ta robe. Ou me déshabiller.— Idiot. Tu fantasmes. Non, rien de si décisif.— Si on ne fait rien, on va passer pour un couple de vieillards qui ne sait plus s’amuser.— C’est vrai. J’ai bien une idée mais j’ai peur que tu le prennes mal.— C’est un jeu. Juste un jeu. Amusons-nous. Pour une fois que nous sommes sans les enfants qui nous brident. Alors ?— Tu as remarqué comme Pascal est musclé ?— Bien sûr il fait de la muscu et il est prof de sport. Et… ?— Je suis fascinée par ses pectoraux. On dirait qu’il a de la poitrine.— Et… ?— Si je ne me retenais pas je les toucherais pour voir si c’est vraiment du muscle. C’est fou, non ?— Mais normal. Montre-moi comment tu lui ferais. Elle passe ses mains sur ma poitrine. Elle est maladroite, certainement choquée de sa propre audace. — Attends ! dis-je en me dégageant un peu et faisant sauter mon polo par-dessus tête. Voilà, maintenant c’est mieux. Recommence. Ses mains sont douces sur ma peau. Elle explore ce qu’elle connaît depuis longtemps, mais peut-être qu’elle imagine… Je saisis une de ses mains et la plaque sur mon ventre. — Il a de très belles "tablettes" aussi. Elle s’exécute. — ...
    ... Voilà, c’est parfait. Fais la même chose avec Pascal. Il est en chemise. Défais ses boutons doucement. Il va apprécier. En tout cas moi, oui. Ensuite tu fais comme tu as envie. Ses pectoraux, son ventre. Tu vas aussi l’embrasser comme Prune me l’a fait. Et puis tu vas descendre ta main plus bas. Elle bute sur le pantalon. — Oui, descends encore.— Mais…— Glisse-toi sous la ceinture.— Cédric…— Voilà, et que sens-tu ?— Ton sexe. Le bout.— Bien, je bande comme un malade. Tu vas faire la même chose. Il ne sera pas dit que tu ne puisses pas le faire bander, comme Prune avec moi. C’est une question de principe.— Mais, Cédric, si je fais cela…— C’est un jeu, Chérie, un jeu…—ON CHANGE ! Ouf. Sauvé par le gong. Cette fois-ci, Marie retrouve le chemin de son partenaire sans que Prune n’intervienne. Prune est là. Elle se colle à moi. Je sens ses seins contre ma poitrine. Peau contre peau. Elle a enlevé le chemisier. Mais je l’interroge. — Alors comment cela s’est passé ?— Bien, très bien. Elle s’est collée spontanément. Elle lui a fait des sucions des oreilles. C’est ce que tu avais demandé ?— Oui. Là elle doit lui défaire sa chemise, l’embrasser, lui caresser le torse, le ventre et aussi vérifier qu’il bande. Je me demande si on ne va pas trop vite.— Mais non. En réalité, Pascal n’a pas joué le jeu. Il a pris des initiatives. Il l’a embrassée et l’a caressée un peu partout, les seins, les fesses…— Et elle s’est laissé faire ?— Sans un refus. Même avec une certaine participation. Elle a dû ...
«12...111213...17»