1. Le Ruisseau


    Datte: 09/10/2019, Catégories: 2couples, couple, cocus, danser, amour, pénétratio, fdanus, hdanus, échange, jeu, entrecoup,

    ... remarquer qu’il bandait. Et moi, je t’intéresse ? Bien sûr que Prune m’intéresse. Lorsqu’elle lance « on change » Je l’ai caressée partout et ma trique continue. —ON CHANGE ! Marie me revient. Elle est bouillante. Son visage est moite. Ses mains transpirent. — Alors ? demandé-je..— Je t’ai obéi. J’ai fait ce que tu m’as dit.— Et…— Je te dis, j’ai fait comme tu as dit.— Les boutons de la chemise ?— Oui.— Son torse ?— Oui.— Son ventre ?— Oui.— Tu l’as embrassé ?— Oui.— Tu as glissé ta main ?— Oui.— Il bandait ?— Oui.— Et toi ?— Quoi, moi ?— Tu as aimé ? Elle hésite. J’insiste : — Tu as aimé ?— Oui, me répond-elle dans un souffle. Je m’amuse à la taquiner en lui soufflant à l’oreille. — Prune m’a dit qu’avant aussi tu avais bien aimé et que son mari avait profité de la situation en te pelotant. Coquine. Mais je ne te reproche rien. Au contraire. Cela me donne une excuse avec Prune. On joue. Elle détourne la conversation. — À propos de Prune, elle était comment ?— Sans chemisier.— Oh !— Oui. C’était très agréable.— Cochon.— Vicieuse. Nous rions. — Maintenant tu vas enlever ta robe. On doit rattraper ta copine. Marie ne proteste pas. Je l’aide à la faire passer par-dessus la tête. Pour un peu, je continuerais avec le soutif mais je n’ose pas. Par contre, je ne me prive pas de la caresser. Son slip laisse passer ma main et j’adore ce que j’y découvre, une fente humide, preuve que le jeu fait son effet. —ON CHANGE ! Prune est là. Elle se charge de m’enlever mon pantalon. Cela ...
    ... signifie que Marie va trouver Pascal en slip. —ON CHANGE ! Marie est dans mes bras. Nous ne parlons plus. Tous deux, nous savons où nous en sommes. Je vois Pascal et Prune qui sont maintenant presque à portée de main. Ils se sont rapprochés. Je détache le soutif de Marie. —ON CHANGE ! Ils sont juste à côté. Pascal et Marie ne font qu’un. Leurs peaux se touchent. Il ne reste qu’un slip comme dernier rempart. Il fait sombre mais pas assez pour ne pas chercher à deviner. Eux aussi doivent nous regarder. —ON CHANGE ! Mais alors que Marie revient toute tremblante pour se blottir dans mes bras, comme des remparts à sa tentation, Prune nous dit : — Nous montons. Vous pouvez venir, il y a plusieurs chambres. PRUNE Tout se déroule à merveille. D’après Pascal, Marie ne se défile pas à ses caresses. Elle aussi n’hésite plus à glisser ses mains sous le slip pour palper les fesses de mon mari. Les deux couples sont synchrones, interchangeables. Mais ! Mais ! Entre danser presque à poil, se frotter à la peau d’un autre, sentir son sexe dur de désir, mouiller de toute cette situation et passer à l’acte avec lui, c’est autre chose. Donc, nous montons, laissant Marie et Cédric dans le salon. Pour ne pas casser l’ambiance, je n’allume qu’une lampe basse près des marches. Une fois dans la chambre, la première du couloir, je prends bien soin de laisser la porte ouverte. Dès que je m’allonge, mon Pascal qui me sait toute chaude (ce n’est pas parce qu’on est organisatrice que l’on est insensible) vient ...
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