1. Le Ruisseau


    Datte: 09/10/2019, Catégories: 2couples, couple, cocus, danser, amour, pénétratio, fdanus, hdanus, échange, jeu, entrecoup,

    ... plonger son visage entre mes cuisses. C’est délicieux de tendresse. Je suis toujours étonnée que mon homme qui a baisé autant de femmes que moi je me suis fait prendre, soit encore capable de me surprendre par son approche délicate. Je me laisse bercer par ses léchages. J’attends. Nous attendons. Il ne faut que quelques minutes pour que deux silhouettes apparaissent. Ils sont montés. Cédric a entraîné Marie, à moins que ce soit Marie, bien chaude qui a demandé à son mari de trouver le confort d’un lit pour baiser. Mais la lumière de la table de nuit ne pouvait que les attirer vers la seule porte ouverte. Je fais un signe de la main pour qu’ils entrent. La pièce n’est pas très grande et un pas suffit pour qu’ils soient près du lit. Ils regardent. Je capte le regard de Marie et ostensiblement montre la place à côté de moi, déplaçant même un oreiller près de ma tête. Cédric est derrière sa femme. J’ai l’impression qu’il lui parle à l’oreille. J’imagine ce qu’il lui dit. — Allons-y, cela devrait être agréable de faire l’amour à côté d’eux. Peut-être même qu’il la pousse gentiment. En tout cas, elle vient. Le lit bouge à peine de sa présence. J’apprécie qu’elle s’installe juste à côté, si près que lorsque son mari lui enlève sa culotte le mouvement des hanches la fait me toucher. Nous voici, les deux femmes, côte à côte avec chacune son mari qui s’y colle. Car Cédric s’est empressé de disparaître entre les cuisses de Marie. J’aime ces moments où la sensualité précède la ...
    ... jouissance, la délicatesse de la montée du plaisir avant l’orgasme dévastateur mais un peu brutal. Nos deux hommes nous lèchent. Nul doute que chacun découvre notre odeur faite de sueur, de mouille et du parfum si particulier et personnel de chaque grotte féminine. Marie me regarde. Nous échangeons un sourire. Je me penche un peu pour approcher mon visage du sien, de mes lèvres des siennes. Elle ne refuse pas mon baiser, d’abord à peine appuyé puis plus intrusif avec ma langue qui pousse pour passer entre les lèvres à peine closes. Sa langue est en défense, mais bien vite elle cède à la mienne, se mesurant très vite à la conquérante. C’est délicieux. D’après Cédric, sa femme n’a jamais connu de relation avec une femme. Un baiser n’est pas une relation, mais déjà j’aime le goût de ses lèvres. Je caresse aussi un sein avec le dos de ma main, juste un frottement pour exciter le mamelon. Alors que je l’embrasse et la caresse, j’ai le plaisir de voir Marie fermer les yeux. Je continue de longues secondes ces attouchements et puis la libère. Elle ouvre les yeux. Son sourire est un cadeau. J’aime ces instants de parfaite harmonie. Et puis ! Et puis ! Elle découvre que les hommes ont changé et que maintenant les lèvres et la langue qui la lutinent ne sont plus celles de son mari Cédric, mais de Pascal. Une lueur traverse son regard mais bien vite, s’apaise. Pour la rassurer je lui tiens la main. Elle soulève la tête pour vérifier que c’est bien son mari qui est maintenant entre mes cuisses. Le ...
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