1. Le Ruisseau


    Datte: 09/10/2019, Catégories: 2couples, couple, cocus, danser, amour, pénétratio, fdanus, hdanus, échange, jeu, entrecoup,

    ... face à elle, que ce n’était pas moi qui l’envahissais de ma queue ? Ou bien, elle savait mais croiser mon regard l’a mise mal à l’aise ? Je lui souris dans un signe de complicité et d’apaisement si elle doutait encore de mes envies, alors que je suis derrière Prune. Juste une tension des lèvres alors que tout son corps bouge sous la poussée de son amant. Il doit être bien au fond, callé dans cette grotte que je connais si bien, mais qu’à ma connaissance, aucune autre queue n’est venue visiter depuis notre mariage. C’est à mon tour de me placer. Prune s’est déjà entrouverte et je glisse en elle comme dans un fourreau parfaitement huilé. J’aime cette position. Marie et moi la pratiquons souvent le matin au réveil juste avant de nous lever pour retrouver les enfants. J’aime me coller contre les fesses, glisser ma queue dans une grotte qui n’attend que cela, empoigner ses seins pour les pétrir et la baiser doucement jusqu’à ce qu’elle jouisse, ce qui arrive souvent très vite, encore chaude de la nuit. Tout est pareil. Tout est différent. Prune se frotte contre moi. Je sens Pascal s’activer déjà dans ma femme. Chaque avancée de son mandrin pousse le ventre de Marie contre celui de Prune et moi je sens ma propre queue être massée par ce mouvement. J’adore ! Enfin mon rêve, une partie au moins, se réalise ! Cette première fois est magnifique. Magnifique de délicatesse alors que je redoutais un peu ce moment, aussi bien pour la réaction de Marie, que la mienne qui rêvais mais ne ...
    ... savais pas vraiment comment le rêve deviendrait réalité. Rien de brutal. Rien de vulgaire. Deux femmes qui s’embrassent et deux hommes qui les prennent. C’est une houle. Une ondulation de ces corps étreints que deux queues avides provoquent. Sans nous en rendre compte, Pascal et moi nous nous sommes synchronisés. Il embroche ma femme, je recule. J’enfile la sienne, il recule. C’est bon, plaisir décuplé par la position. Mais la tension sexuelle de la soirée se fait sentir. J’ai tellement bandé que mes couilles n’ont qu’une envie, c’est de se vidanger du foutre qu’elles ne cessent de fabriquer depuis des heures. Pascal, même s’il est plus expérimenté que moi, donne aussi des signes d’urgence. De ces signes qui font que nous pistonnons maintenant nos femmes avec force, secouant leur corps de nos désirs. C’est le petit cri de Marie qui nous donne le "la". Un petit cri qui s’amplifie à mesure que son amant l’embroche de plus en plus vite, de plus en plus fort au point que les deux femmes se séparent. C’est sûr, elle va jouir. Son visage est crispé, ses lèvres pincées et enfin arrive le"Ouiiiiii" qui est une la récompense pour l’amant. C’est le moment où, ne pouvant plus me retenir, je balance la purée dans la grotte de ma maîtresse qui se tortille avec délice. Le calme revient. Notre quatuor se reforme, les corps se soudent à nouveau comme s’il ne fallait pas rompre cet instant. Par-dessus la tête de Prune, j’échange un baiser avec ma femme. Une Marie souriante, radieuse, heureuse. ...