1. Les Amazones


    Datte: 08/09/2017, Catégories: fh, ff, hplusag, inconnu, fépilée, volupté, fdomine, hdomine, Oral pénétratio, attache, init, historique, fantastiqu,

    ... masques, des coiffes, des pagnes. C’était donc cela. Les déesses infernales et meurtrières qui avaient massacré ses compagnons n’étaient rien d’autre que ces filles à l’apparence si douce. Il ne réussit pas à dormir de la nuit. Son ventre criait famine après avoir seulement avalé les quelques fruits qu’elles lui avaient amenés. Et tant que la lune illuminait le ciel obscur, elles avaient dansé, chanté, crié… Une sorte de cérémonie sans doute à laquelle, lui, n’avait pas été convié. Il se sentait tout de même un peu vexé… Les jours suivants, il ne fut pas autorisé à quitter sa demeure en peau de bête. Seules quelques femmes âgées lui fournissaient de quoi subsister. Le soir du cinquième jour, on vint lui faire une toilette (ce n’était pas trop tôt !). L’eau fraîche lui fit du bien. Il se sentit revigorer, presque en pleine forme. On lui peignit également quelques signes sur le front et le torse. On alluma des bâtons d’encens et des bougies. L’atmosphère d’habitude lugubre devint presque romantique. Il pouvait voir danser l’ombre du corps de la jeune fille qui apparut à la lueur d’une flamme fragile et vacillante. Comme elle. Elle était vêtue d’une sorte de grande cape blanche dont la capuche dissimulait le haut de son visage. C’était probablement une parure de cérémonie. Les autres femmes se retirèrent dans un coin de la tente où la faible lumière des bougies ne parvenait pas. Il fallait oublier leur présence. On aurait pu croire qu’elles étaient parties, mais elles restaient ...
    ... tapies dans l’obscurité. Seuls leurs yeux brillants demeuraient visibles et inquiétants. Mariane dégagea tout d’abord ses yeux, puis son front, sa chevelure coiffée en une multitude de fines tresses. Elle laissa tomber le vêtement immaculé sur ses hanches avant qu’il ne glisse sur le sol dans un bruit étouffé. Pablo remarqua qu’elle portait un bracelet à la cheville lorsqu’elle commença à s’approcher de lui pieds nus. À chaque pas, il tintait imperceptiblement. L’homme put mieux distinguer ses petits seins. Les tétons étaient bien redressés et à leur vue, son sexe en fit autant. Le visage de l’Amazone restait impassible. Il était difficile de savoir ce qu’elle ressentait. Cependant, son regard dévia rapidement vers le membre viril du prisonnier et ses joues s’empourprèrent d’un joli rouge vif qui, malgré le peu de luminosité du lieu, était bien visible. Elle avançait toujours, lentement. Le tatouage descendait bien bas sur son ventre et s’arrêtait au niveau de l’ouverture de son sexe à la peau lisse. Pablo ne savait pas vraiment ce qui allait lui arriver, mais il ne pouvait détacher son regard de la jeune fille. Il dévorait des yeux l’Amazone qui semblait s’offrir à lui. Finalement, il était peut-être bien aux Champs Élysées. Ce n’était pas exactement l’idée qu’il en avait, certes, mais cela ne paraissait pas si désagréable que ça. Si ses poignets n’avaient pas été attachés, il aurait désormais pu la caresser. Faire glisser ses doigts sur son corps doré. Il en avait tellement ...
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