1. Gourou sexologue si serviable


    Datte: 10/10/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail bizarre, humilié(e), cérébral, Oral pénétratio, jeu, délire, humour, couple, couple+h,

    ... appliquée, je me suis appliqué. Ma bouche a retrouvé le chemin de son sexe, mon sexe a retrouvé le chemin de sa bouche, nous nous sommes longuement caressés, nos salives pimentées au contact de nos organes se sont mélangées de nouveau. Nous avons chassé de nos draps la funeste routine. Le « début d’électrochoc » nous a rendu vitalité et envie. Un orgasme n’a pas suffi, j’ai voulu relire dans les yeux de Louise cet instant d’abandon total. Elle jouissait encore avec moi. Pourquoi chercher ailleurs ? Il a suffi d’une explication et c’est reparti, j’ai repris goût à la chose. Et finalement j’ai trouvé du charme aux petits bourrelets de son ventre, aux coussinets sur ses poignées d’amour. Depuis longtemps je n’avais pas autant éjaculé. Elle m’a crié « je t’aime ». Nous nous sommes endormis apaisés. Elle s’est endormie avant moi en réalité. Mon cerveau recevait encore les ondes de l’électrochoc ! La tentative de Louise d’introduire ce bellâtre dans notre lit, il s’agit de ça, n’était-elle pas une façon d’officialiser un adultère déjà consommé ? Sous prétexte de redonner un élan à notre amour, n’avait-elle pas essayé de faire de moi le demandeur ? Moi, son mari, pour assurer la pérennité et le bonheur de notre union, je l’aurais priée de coucher avec Robert afin de donner à ma libido un coup de fouet ! Inimaginable ! Et à ma demande pressante, le serviable séducteur serait devenu l’indispensable soutien de notre couple en péril. Je n’avais qu’à donner mon accord et les amants ...
    ... m’auraient donné pleine satisfaction. J’aurais assisté à leurs ébats, des ébats destinés à me booster, donc des ébats de grande exemplarité dans lesquels ils auraient mis toute leur ardeur pour mon bien. Ils m’auraient rappelé ce que signifie « faire l’amour », démonstrations fougueuses à l’appui. Assis au pied du lit, en élève ravi, j’aurais pu applaudir leurs exploits. J’aurais réappris, grâce à eux, la tendresse, les préliminaires, les pénétrations, les envolées orgasmiques avec points d’orgue. Ainsi ils auraient pu s’aimer noblement sous mes yeux éblouis de cocu bienheureux. C’était plus confortable pour leur conscience et pour leur confort que l’amour à la sauvette sur un coin de bureau ou sur une banquette de voiture. Pour peu, j’aurais dû remercier le généreux ami si soucieux de maintenir la flamme de l’amour. Il aurait pu établir chez nous une permanence et, à ma moindre baisse de régime, dégainer son vit, sauter sur ma femme, me montrer comment la faire jouir, me booster grâce au spectacle gratuit de leurs empoignades. Comment une idée aussi saugrenue a-t-elle pu germer dans un esprit sain ? Je n’ai pas de preuve de l’infidélité de ma femme, mais seule une passion aveugle a pu la pousser à oser me présenter une proposition aussi humiliante pour moi. Elle n’est pas naïve. Je n’ai pas remarqué jusqu’à ce jour qu’elle me prenait pour un gobe-mouches. Son audace soudaine est dictée soit par un profond désespoir, soit par une passion dévorante pour le dénommé Robert. Elle a ...
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