Gourou sexologue si serviable
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
bizarre,
humilié(e),
cérébral,
Oral
pénétratio,
jeu,
délire,
humour,
couple,
couple+h,
... et ses hurlements de bonheur. J’en souris. Il croit que je mords à l’hameçon. Debout à côté du lit, ils s’apprennent en échangeant un baiser. Un long baiser en s’étreignant, yeux dans les yeux. Louise ne se dégonfle pas. Elle ne met pas fin à cette mise en scène grotesque, au contraire, elle offre sa bouche avec ardeur. L’étreinte n’est pas feinte. Les yeux rayonnent de bonheur, les bouches se dévorent, se croisent, ouvertes, collées. Ils semblent vrais, ce n’est pas un baiser de cinéma, c’est un baiser goulu, vorace, charnel, fou, enragé. Bouches toujours unies, ils commencent un effeuillage lent ponctué de caresses. Je me suis trompé, ils iront au bout de cette folle aventure. Robert empoigne un sein, le libère, le caresse, le presse, chatouille le téton. Ils s’embrassent toujours, les vêtements tombent un à un, couvrent le sol à leurs pieds. Ma femme se livre sans pudeur, sans gêne, plus réelle dans son rôle d’amante que la meilleure actrice de porno, naturelle, passionnée. Elle s’abandonne à toutes les audaces des mains baladeuses, se contorsionne sous les poussées. Quand le baiser se défait, lui plonge sur la poitrine à la manière d’un nourrisson affamée, elle projette son ventre contre celui de son maître actuel, et pour mieux se frotter à lui, elle ouvre ses cuisses et avance ses jambes de chaque côté de celles de l’homme. Ainsi elle se colle à la verge dressée, la presse entre les deux abdomens, lui fait subir un mouvement d’un côté à l’autre entre les peaux ...
... brûlantes de désir. Avec un gros soupir, Robert recule, me regarde en souriant, sollicite mon approbation d’un mouvement du menton et pose ses mains sur les épaules de Louise. L’imbécile heureux me nargue. Ma femme, par vice ou par excès de naïveté et de crédulité, continue avec la volonté farouche de provoquer le fameux électrochoc ou l’effronterie de me cocufier ouvertement… La mise en bouche a assez duré pour lui. Louise descend de son nuage. Ses mains glissent sur les côtes, sur les flancs, en longs effleurements, son dos se courbe, ses genoux plient, sa figure s’arrête au niveau du sexe bandé surmonté d’un gland impressionnant, couleur prune. À son tour, ma femme se souvient de ma présence et dit d’une voix chevrotante : — Ça va, mon chéri ? Je suppose que la question m’est adressée. L’autre ne cache même plus un rictus moqueur. Il réussit son coup, il n’a plus de doute, je suis le roi des niais, je le lis sur son visage. — Tu vois comme il est beau, comme il est gros ? J’en ai presque peur. Mais puisqu’il le faut… Une main impérieuse pousse sa tête vers le pieu, une autre main lui présente le gland, le ventre du dévoué collègue de bureau se tend vers la bouche qui s’ouvre à la commande. Les lèvres arrondies encerclent l’extrémité, le prépuce colle aux lèvres pendant la lente invasion de la tête du nœud puis d’une part de la hampe. Ma comédienne est parfaite, elle manifeste toujours autant de naturel, reçoit en son palais le sceptre glorieux. Des larmes dans ses yeux me disent ...