1. Tempête sur le Triangle


    Datte: 11/10/2019, Catégories: fh, ffh, fbi, hplusag, jeunes, couple, amour, volupté, facial, Oral pénétratio, fsodo, init, ecriv_c,

    ... toutes les deux d’être sages… Puis une question me brûle : — Pour la belle-mère, j’ai pensé que Clara… enfin ne me dis pas que…— Clara lui fait du charme ! coupe-t-elle. Presque du « rentre-dedans », tu verrais ça ! Du grand art… la belle-mère est ravie, Clara a réussi à s’en faire une alliée !— Tu me disais que c’est une belle femme ?— Oui, vraiment ! Encore bien pour son âge… et sacrément fichue ! Même toi, mon amour, je suis sûre que tu aimerais !— Stop ! dis-je hilare, la sœur déjà… la mère ça attendra ! Quelle famille ! Mais tu ne vas pas me dire que Clara a des « vues » sur elle, quand même !— Je me demande… susurre Laure en rigolant, je me demande… Puis dans un souffle elle conclut : — Que Clara soit bloquée… ça me préoccupe, vraiment. o-o Bon, laisser tout ça se décanter, le temps… Et je l’aurais parié ! Séverine, au courant du déplacement de Laure ne pouvait que se manifester… Et sachant peut-être quelque chose de l’incident, veut-elle en tirer avantage ? Elle me téléphone, me proposant de prendre un verre chez elle… — Tu dois te morfondre… tout seul ! commence-t-elle gentiment. Je crois déceler un ton de fleur carnivore, de celles, belles et envoûtantes… et clac ! Voulant gagner du temps, je refuse poliment, au prétexte que je suis très occupé. — Allez, juste se voir… je te fais peur ? insiste-t-elle. C’est vrai, je suis seul. Moi ? Peur ? De cette effrontée ? Mais non, quand même ! Par orgueil de mâle, j’accepte et je conclus par un resto. Le piège s’est refermé, ...
    ... je le pressens… Séverine me rejoue Eve et la pomme…, ça doit être génétique ! o-o En tête-à-tête, dans une ambiance intime, nous dînons en échangeant des banalités. Elle me parlant de ses études, moi de mon mariage. Pas d’allusion à ce qui s’est passé entre nous. Ni rien pour l’instant d’intentions de sa part à court terme. Séverine est en beauté, et a forcé son image de femme, par un maquillage savant, une robe plutôt habillée, loin des tenues des filles de son âge, en jean et t-shirt. Ainsi transformée, presque méconnaissable, elle est outrageusement belle, trop peut-être, ses traits juvéniles contrastant avec un look très femme. Un peu de vin aidant, les tables voisines qui se vident, elle s’enhardit, cherchant mon regard. Quelques mimiques des lèvres, des yeux, d’abord ébauchées, puis plus appuyées. Je m’amuse à observer son jeu de séduction, n’étant pas dupe du manège. « Et bien, pensé-je, elle se donne bien du mal ! Laissons venir, pour voir… » Mais elle me surprend, soudain, par un coup direct. Un soupir, un regard furtif, une hésitation puis, sans transition : — Jean-Pierre… Quand je me rappelle, l’autre soir, tous les trois… et puis ta première leçon ! J’en frémis. Heu ! C’était bien…— Oui. Et alors ? dis-je d’un ton banal, voulant éluder tout de suite— C’était « vraiment » bien ! Heu ! Comme tu es seul, j’avais pensé… non ? Elle est quand même craquante, et diablement désirable à insister comme ça !Comme je ne réponds pas, elle me prend la main, soupire à nouveau et ...
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