Tempête sur le Triangle - Histoires de Sexe

Tempête sur le Triangle

... tremblantes. Je la chevauche aussitôt, m’approchant de sa bouche. Une hésitation puis, comprenant, ses lèvres me saisissent et m’engloutissent, recueillant mes derniers soubresauts et le goût de sa propre intimité. Elle grimace, manque me rejeter, me reprend, des filets aux coins des lèvres. Essoufflée, elle se détourne enfin, bouche fermée, cherchant à recracher, puis se ravise et déglutit… Un peu écœurée, s’essuyant d’une main, elle me sourit, me montre un bout de langue pointu et bien rose. — Ah ! Comme une vraie salope… me dit-elle, fière, en riant. Tu me fais faire de ces trucs cochons, mais j’aime ça… C’est autre chose ! Et j’ai joui, joui ! Ah ! Dis donc ! Encore entre ses jambes, elle les enroule autour de ma taille, minaude, secoue la tête. — Et voilà ! Super… Super ! Un homme, un vrai ! Ses poings me tapent la poitrine. Elle ajoute en riant, se léchant les lèvres : — Des cochonneries, on a fait des cochonneries ! Tu exagères…— C’est la première fois ? T’avais jamais goûté ?— Oh si ! Mon copain actuel. Il voudrait que j’avale… Une fois j’ai essayé, je suis allé vomir ! Une horreur ! J’en avais plein la bouche !— Ben ! Mais là, avec moi !— Pas pareil ! Juste un peu… Tu sais y faire ! T’es un malin ! Et puis, je sais pas, l’ambiance, tout quoi… J’ai aimé, finalement j’ai aimé ! Soupir de satisfaction. Elle hoche la tête, me montre son ventre, ses mains… — Et ça ? Je fais quoi ? J’en ai partout… demande-t-elle, l’œil égrillard,— Tu étales… C’est bon pour la peau ! lui ...

... dis-je en me moquant. D’un air détaché, timidement, en me regardant, elle se masse le corps avec ma semence, s’essuie les doigts sur ses bras. — Les seins aussi ! dis-je en l’aidant. À mon contact, elle frémit, me retient les mains. Ses bouts gros et durcis palpitent sous mes doigts. Elle soupire, les yeux énamourés : — C’est bon… cochon et excitant ! Dis donc ! Tu fais ça aussi avec Laure ?— Oui ! Et pire encore… mais tu verras, plus tard, avec ton copain… Le regard brillant, elle susurre : — Dis-moi. Tu suces les filles, toi ? Tu sais, comme Laure l’autre soir ?— Oui… bien sûr ! Et elle aime ça, la coquine !— Ah ! J’aime aussi… Les copains que j’ai eus, ils aiment pas faire… ou c’est pas bien ! o-o Maintenant, pelotonnés l’un contre l’autre, une main jouant avec ses fesses, nous regardons la suite du film d’un œil distrait. Sur l’écran, les acteurs continuent de s’enfiler, de se sucer. Les filles sont belles, à gros seins. D’ici, dans notre chaleur, nos odeurs, ces scènes pornos paraissent bien dérisoires, sans âme. — Merci Jean-Pierre… me souffle-t-elle, mais je ne voudrais pas que tu me prennes pour une traînée, ni comme une vicieuse. J’ai soif d’aimer, tu comprends ? J’en crève d’être trop jeune ! Il n’y a que des minots qui s’intéresse à moi ! Et ils baisent mal, sans tendresse…— Ne t’inquiète pas, prends patience. C’est bien d’être jeune, crois-moi ! Heu ! Tu sais… cette nuit, c’est exceptionnel… Tu avais envie, moi aussi. Il faut arrêter maintenant, tu comprends ? J’ai ...