Tempête sur le Triangle
Datte: 11/10/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
fbi,
hplusag,
jeunes,
couple,
amour,
volupté,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
ecriv_c,
... déployer, la vidéo qu’il faut lancer… Le contact de son corps nu, élastique, nerveux, plein de vie, m’électrise… et rapidement je redécouvre ses seins, plutôt petits, mais bien formés, aux pointes durcies. Je grogne de plaisir, pendant qu’elle répond par des soupirs et en se débattant, cherchant à tout prix à prendre l’initiative. Mes mains glissent sur le haut de ses cuisses trempées qui ainsi m’échappent : Séverine joue l’insaisissable, la liane qui se dérobe puis vous enlace… Le privilège de la souplesse de ses vingt ans ! Des sensations retrouvées de manœuvres vives, rapides, Laure et Clara étant plus lentes, jouant l’efficacité immédiate. Question d’âge et d’expérience sans doute ! Essoufflés à cet exercice faisant grincer les ressorts du sommier, elle me bloque soudain et murmure : — Arrête… Pas trop vite, on regarde le film. Maintenant, demi allongés, le dos calé par des oreillers, nous commençons à visionner une vidéo torride… Mais très vite, surexcités, nos mains, nos bouches, nos soupirs accompagnent celles et ceux de l’écran. L’inexpérience, les approximations et hésitations de Séverine rajoutant du piment à nos caresses, nos attouchements. Elle souffle, haletante, sa bouche dans mon cou : — Tu vas me baiser… hein ? Je veux, comme une femme, tu comprends ? Comme si j’étais Clara, ou Laure. Je veux savoir, savoir ce que tu leur fais… Et puis soudain, ouverte et humide à souhait, elle veut m’accueillir, ouvrant grand ses cuisses, levant ses genoux. — Viens ! ...
... râle-t-elle. Viens ! Et comme je m’y apprête, guidé par ses doigts qui me pressent, elle murmure : — Doucement, je suis étroite… tu es gros pour moi… Un cri quand je la pénètre un peu. Elle me retient, le souffle court : — Doucement, c’est serré… gémit-elle. Puis d’elle-même donne le rythme, la profondeur : — Voilà, c’est bon, comme ça, continue… finis sur mon ventre, comme dans le film ! Ses yeux grands ouverts me fixant, se mordant les lèvres, elle m’accompagne dans l’étreinte, qui dure, dure… Je vais et je viens en elle doucement, attentif à ne rien brusquer. C’est étroit, lisse, doux, juste humide, loin des débordements de cyprine de Laure ou de Clara. J’ai peur de lui faire mal, à cette jeune grotte, sûrement peu visitée… Elle sent ma retenue, sourit, m’invite à plus de vigueur. D’une main, d’un doigt elle se caresse, son autre main malaxant ses seins. — Tu peux… plus vite, plus fort ! Ah ! Elle gémit, ferme les yeux, les rouvre, cherche de l’air. Puis se cambrant, soudain, elle laisse aller sa jouissance, crispant ses mains sur mes fesses, m’attirant au plus profond. Toutes les femmes ont ce geste, même inconscient, comme pour s’assurer qu’elles seront fécondées. Geste exquis pour nous les hommes, flattant notre ego. Il était temps ! Je me dégage, comme prévu, et me lâche à mon tour, dans ses doigts, aspergeant son ventre doux et plat. Elle a alors un sursaut, comme un deuxième orgasme, dans un râle de gorge, les fesses levées, la tête rejetée en arrière, lèvres entrouvertes et ...