1. Un petit tour à Bordeaux


    Datte: 12/10/2019, Catégories: fh, extracon, groscul, vacances, piscine, amour, Oral pénétratio,

    On est début juillet, en matinée. Je reprends la route après avoir passé quinze jours au pays basque, histoire de me ressourcer un bout. Avant de remonter sur Paname, je vais m’arrêter voir un couple de potes. Ce sont les amis de mon ex, et étant resté en contact avec eux, ils m’ont proposé de passer les voir. Lui, je ne le connais pas très bien, mais elle – Christine – est la meilleure amie de mon ex-femme, alors je l’ai côtoyée plus régulièrement à l’époque. Quand je m’étais séparé de Rachel, on avait même fricoté un peu ensemble lors d’une soirée ; rien de bien particulier, un peu de tripotage et d’embrassades fougueuses. Et on s’était quitté vers deux plombes du mat’, sans avoir réellement consommé. Maintenant, je n’y pense plus trop, mais à l’époque, je me la serais bien envoyée, la Christine. Elle faisait partie de mes fantasmes récurrents. Bref, ils habitent depuis peu dans un charmant lotissement en banlieue cossue de Bordeaux. Ils ont une jolie petite baraque avec un beau jardin et une piscine. C’est Jean qui vient m’ouvrir la porte, il me salue amicalement. Même si on ne se connaît pas bien, je trouve ce mec plutôt sympa. Il m’emmène à la cuisine, où Christine est en train de préparer un petit dîner de bienvenue. Tout sourire, elle se pend à mon cou pour m’embrasser, je trouve cette attitude un peu cavalière mais ne dis rien. Elle est mignonne comme tout dans sa petite robe bleu marine à boutons, et ses sandalettes d’été. On boit l’apéro, on discute. Ils partent en ...
    ... vacances dans une semaine, ils en ont bien besoin, ils ne l’ont pas volé, patati, patata. Comme au préalable, ils m’ont proposé le gîte pour la nuit, je vais crécher là, et je partirai demain dans la journée, regagner mes pénates. La soirée se passe bien, la viande est tendre, le rosé de saison bien frais, la tarte aux pommes succulente. On est maintenant installé dans le coin salon. Je suis dans un petit fauteuil en cuir en face du jeune couple qui trône sur le canapé de l’autre côté de la table basse. On a quand même bien picolé, et on savoure un cognac gouleyant alors que Jean sort les cigarillos. De temps à autre, j’observe le beau jeu de cuisses de Christine qui croise et décroise les jambes avec insouciance. À plusieurs reprises, j’entrevois sa petite culotte blanche. Je me demande même à un moment si elle ne le fait pas exprès, si elle n’est pas en train de gentiment m’allumer. Mais non, ce doit être le fruit de mon imagination, j’ai toujours les idées mal placées. On discute jusqu’à deux plombes du mat’, et puis Jean me guide à ma chambre pour la nuit. Je salue Christine d’un geste de la main, et le suis. Il me dit que demain, il part bosser tôt, mais que si je suis encore là vers treize heures, on pourra déjeuner ensemble avant que je file. Le matin, je me lève assez tard, j’ai dormi comme un loir. J’enfile un bermuda, et file à la cuisine. Une cafetière de café tiède trône sur la table, je m’en sers une bolée. Par la fenêtre, je jette un œil dans le jardin. Là, au ...
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