1. Un petit tour à Bordeaux


    Datte: 12/10/2019, Catégories: fh, extracon, groscul, vacances, piscine, amour, Oral pénétratio,

    ... Christine et moi, on est sur la terrasse en train de siroter l’apéro. On dîne, Jean semble ravi que je reste encore ce soir avec eux. Je suis un peu gêné vis-à-vis de lui, je culpabilise, mais après tout, c’est elle qui m’a demandé de lui faire l’amour. Même topo que la veille, bonne bouffe, digestif sur canapé, allumage discret. Vers minuit, Jean nous dit qu’il est crevé, qu’il faut qu’il aille dormir. Il me propose de rester pour un barbecue le lendemain midi si j’ai envie de prolonger un peu (bien sûr que je veux bien, tu m’étonnes !). Christine lui dit qu’elle le rejoint au lit dans cinq minutes, elle reste un peu avec moi pour discuter. Il l’embrasse sur le front et monte au plumard. Il n’a pas grimpé les escaliers depuis plus de dix minutes, qu’elle soulève sa robe, enlève sa culotte, et me la jette au visage en rigolant. — Mais qu’est-ce que tu fais, tu es folle, Jean est juste au-dessus ! Elle rit : — Ne t’inquiète pas, il a pris deux somnifères, il a du mal à dormir en ce moment. Aucune chance qu’il ne redescende. Je suis certaine qu’il dort déjà ! Lentement, elle déboutonne intégralement sa robe-tablier, et l’ouvre, me livrant ainsi son corps nu. — Allez, détends-toi, me dit-elle, friponne. « Et puis merde, amusons-nous, je ne peux pas résister à cette femme. » Sur le fauteuil en face du canapé où elle se livre à une masturbation aguicheuse, je sors mon sexe du futal et commence à me le masser lentement. Elle passe sa langue sur ses lèvres, se les mordille en se ...
    ... doigtant. Elle ne quitte pas ma queue du regard. Elle se caresse lentement devant moi, avec une excitation et une indécence non dissimulées. Elle gémit tout doucement, puis d’un geste de l’index, me fait signe de m’approcher d’elle. Je me lève, et reste planté là, debout, face à elle, un peu nigaud. Elle se redresse alors, et fait descendre avec douceur mon pantalon et mon caleçon jusqu’aux chevilles. Je suis partagé entre la crainte d’être pris la main dans le sac, et l’excitation de vivre un moment inoubliable. Doucement, elle soulève ma queue, et commence à me lécher les bijoux de famille. Elle les lape, les gobe à tour de rôle, les suçote. Quelle volupté. Je m’enflamme de désir. Elle me masse la tige pour qu’elle durcisse au maximum, et me dit soudain : — Prends-moi, j’en crève d’envie… Elle s’allonge sur le canapé, et me guide entre ses cuisses. Ma queue entre de toute sa longueur dans son sexe chaud et humide. Nous faisons l’amour avec délice, sans nous presser, sans bruit, pendant de longues minutes. C’est un moment très érotique, très sensuel. Je savoure l’instant, j’aime sa peau, ses yeux, sa bouche, ses seins, ses fesses, son ventre, elle me rendrait nigaud cette Christine. Je jouis en elle, cette fois avec douceur, délectation. On se bécote ensuite comme des ados, comme pour se dire mutuellement merci. Puis elle monte se coucher après un dernier baiser savoureux. Je dors peu cette nuit-là, je revois toutes les images de cette frénésie sexuelle qui s’est emparée de ...