1. LE PAPILLON (2)


    Datte: 13/10/2019, Catégories: Hétéro

    ... bribes. « Plus…. fond…. Va y….. tellement grosse….. moiiiiiiiii » Je continue de me rapprocher vers ce qui semble être un de mes pires fantasmes. Je crois que ma femme se fait baiser par un autre que moi. Je crois que ça y est, je crois délirer. Des gouttes de sueurs perlent sur mon front. J’en sens une s’échapper pour glisser le long de mon visage, semblable a une pioche creusant un sillon sur ma peau. Je me rapproche de l’entrée de notre chambre, pose ma main sur le contour de la porte et m’y appui. Je pose mes mains sur mes cuisses en penchant mon buste en avant. Je sens que je vais gerber. Je me prépare au choc, à l’impact. Les bruits de gémissements ont fait place à un claquement sec et régulier, le claquement de deux corps qui s’emboitent. Je ferme les yeux et imagine la scène pour m’y préparer. Elle est surement nue et en dessous. Il… (surement cet enfoiré de bellâtre) …est au-dessus les bras tendu, contractant ses triceps, tel un marteau piqueur, le dos ruisselant de sueur, ses cheveux mi long lui tombant devant les yeux. Sa bite entre et sort de la chatte ou du cul de ma femme, déclenchant en elle un plaisir intense, telle une vague allant et venant sur un corps exposé au soleil. Je regarde derrière moi. Il me suffirait de faire demi-tour pour m’en aller. SI je ne le vois pas peut être cela n’arrivera pas, je pourrais encore le nier. Il n’y a qu’un pas entre moi et mon cocufiage. Mais je suis là, j’entends son plaisir, j’entends son adultère évident. Je l’entends ...
    ... qui prend son pied comme elle ne le prend que rarement. J’entends les mouvements de son amant et la puissance de ses coups de reins. Je sens la moiteur de la chambre et l’écho de leur copulation. Je me décide à franchir le pas de la porte. Un couloir interminable me dirige vers la chambre qui est la nôtre pour laisser place à notre lit conjugal. Elle fait ça dans notre pieu la salope. Le bruit devient assourdissant, elle ne se retient même plus et lui n’y va pas de main morte. Il la bourre fort et dur et elle exprime son plaisir à chaque coup de rein. Les claquements ont fait place à un cognement mêlé d’humidité, son humidité à elle, elle mouille comme une fontaine, sa chatte n’est plus qu’un lac de désir pour sa queue. Ce couloir est sans fin, chaque pas me rapprochant de mon pire fantasme, j’ai l’intime conviction qu’à l’issue de mon trajet plus rien ne sera comme avant. Je me sens comme un prisonnier dans le couloir de la mort en marche vers sa propre pendaison. Le martellement puissant m’oblige presque à me couvrir les oreilles de mes mains. Enfin plus que quelques pas sur la gauche et j’en aurais la certitude, je saurais que je suis un cocu, que ma femme baise d’autres bites que la mienne. « Baise moi » résonne encore et encore dans la chambre. Sa voix n’est que désir, les mots s’étirent en longueur dans une supplication silencieuse… « Plus fort, plus vite, encoreeeeeeee » Je m’adosse à l’angle du couloir, plus qu’un pas et j’y serais. La sensation est ignoble, mon estomac ...
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