1. Christine II : Retour de flammes (6)


    Datte: 13/10/2019, Catégories: Hétéro

    Il est 10h lorsque j’émerge dimanche matin. Christine est déjà réveillée. Elle me regardait dormir. Elle vient sur moi et ondule lentement. J’aime sa douceur ce matin. Cette femme sait mieux qu’aucune autre devancer mes envies, deviner mes désirs. Elle semble me connaitre aussi bien que je me connais et cela est un peu perturbant. Elle jouit tout en sensualité et j’adore la regarder atteindre l’orgasme. Ensuite, elle m’emmène plus énergiquement à la jouissance et je prends un pied énorme. Christine se couche ensuite à mes côtés. Je la prends dans mes bras. Nous restons ainsi sans parler. C’est elle qui rompt le silence et, comme je m’y attendais un peu depuis le début du week-end, elle pose de mauvaises questions : — Juliette est déjà oubliée ? — Comment ça, oubliée ? — Tu n’es plus avec elle, non ? — Ben si. Je lui ai simplement dit que nous ne pouvions pas nous voir ce week-end. — Et elle a accepté ? — Elle connait la situation et ma position. Elle est en accord avec ça, même si ça ne lui a pas fait vraiment plaisir. — Tu lui as dit où tu allais ? — Non. Mais elle sait que je peux être avec une autre femme. — Tu vas lui dire ? — Si elle me le demande, oui. Christine hausse les sourcils puis elle sourit : — Elle est coquine ? — Elle n’a pas froid aux yeux. — Elle suce bien ? — Agréablement bien. — Souvent ? — A chaque rapport et parfois en dehors. — Tu la sodomises ? — On a essayé deux fois. C’est encore la phase de découverte, mais ça ne semble pas être vraiment son truc. ...
    ... Arrête de parler d’elle. Tu n’as pas à être jalouse. Je suis là, non ? Christine donne le change, mais je sais qu’elle est contrariée. Elle vient de casser quelque chose à notre week-end. Je me lève et m’habille. Elle fait de même. Nous allons déjeuner au village, nous parlons peu. Nous enchainons par une nouvelle balade. J’ai juste envie de prendre le soleil et respirer l’air pur. Cela nous fait du bien même si, parfois, Christine semble perdue dans ses pensées. Nous faisons une halte au rocher, mais il ne se passe rien. Vers 16h, nous revenons au village et nous nous installons à la terrasse d’un café pour boire un chocolat chaud. Nous discutons de tout et de rien, mais heureusement pas de nous. Ce n’est que partie remise. Nous rejoignons ensuite l’appartement et passons directement dans la chambre. Nous nous déshabillons mutuellement et nous faisons l’amour. C’est très agréable, très sensuel, mais il y a quelque chose qui cloche, c’est certain. Quelque chose s’est rompu après notre conversation du matin et, après notre ébat, Christine relance la discussion assez directement : — Donc, si je comprends bien, tu ne veux toujours pas t’engager avec moi ? — Si, mais je veux garder ma liberté. — En gros, tu veux me baiser et pouvoir en baiser d’autres, c’est ça ? — Je ne veux pas d’attaches. Par exemple, si on me propose un super weekend, comme celui-ci, je veux pouvoir accepter sans en référer à personne. Cela n’empêche pas de passer de bons moments ensemble, sans que cela soit ...
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