La maîtresse vierge
Datte: 13/10/2019,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
bizarre,
vacances,
amour,
pied,
chaussures,
Masturbation
intermast,
fgode,
préservati,
pénétratio,
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init,
... une inspiration, un signe qui l’aiderait à prendre des décisions. Dans l’étroite cabine d’ascenseur qui la hissait vers son appartement, elle avait la tête vide, disponible à la moindre intuition, sans autre projet que celui de se retrouver seule. Elle fit jouer la clé dans la vénérable serrure, rangea son tailleur avec soin de la penderie et sacrifia au cérémonial de la préparation du thé. Elle emporta dans sa chambre le petit plateau sur lequel tintait sa tasse préférée et le déposa sur son bureau. Elle observait la moitié de sucre immergée dans le liquide odorant se désagréger lentement, se dissoudre et disparaître. Avec une lenteur calculée elle porta la tasse à ses lèvres, les volutes de vapeur lui caressant les narines. Elle savoura chaque gorgée comme rarement elle en avait eu l’occasion, laissant libre cours à ses sens exacerbés. Mue par une sourde pulsion, elle décida de prendre un bain. Elle tourna les robinets de l’antique baignoire en fonte, ajusta la température et prépara quelques linges. Revenant vers sa chambre elle se déshabilla, ou plutôt s’effeuilla laissant négligemment tomber ses vêtements autour d’elle. Le caractère extraordinaire de la situation lui donna des bouffées de plaisir. Nue en plein jour, en plein milieu de la matinée, elle resta un moment immobile au milieu de la chambre. Au milieu du fouillis de draps abandonnés au lever, elle retrouva les deux sabots. S’asseyant sur le bord du lit et les chaussa avec une certaine volupté, ajusta les ...
... brides, et flotta plus que ne marcha vers la salle de bain. Béatrice resta un long moment immergée jusqu’au menton dans un bain très chaud, quasiment immobile, les yeux mi-clos. Elle prenait lentement et inexorablement conscience de sa féminité, de ses sens et de la manière de les exacerber. Quelques semaines auparavant elle avait rougi en se caressant, et voilà qu’elle osait à présent aventurer ses doigts sur la corolle de ses seins, dans le sillon de son sexe. Elle se masturba avec mesure, le clitoris encore sensible, résultat des assauts de la nuit, restant en deçà de l’orgasme et jouant avec la montée de son plaisir comme on dresse un château de cartes. La jeune fille en sucre fondait lentement dans son bain… Béatrice sortit de l’eau avec paresse et se lova dans une vaste serviette de bain et fit un moment face à une étroite et haute glace qui lui permettait de se voir en pied. La tête bourdonnante, elle observa son propre reflet n’osant croiser son propre regard. Elle n’avait rien d’un mannequin mais ses formes étaient souples harmonieuses. Elle laissa choir la serviette, et, dans un réflexe très féminin elle emprisonna ses seins dans ses mains. Elle observa son cou, ses épaules ; abaissant les mains elle découvrit lentement ses mamelons hauts perchés. Ils n’étaient pas très gros, mais suffisamment fermes et élastiques pour qu’elle puisse de temps en temps les sentir danser libres et simplement couverts d’une chemisette. Elle avait le ventre encore à peine bombé des petites ...