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La maîtresse vierge
Datte: 13/10/2019, Catégories: f, fh, ffh, bizarre, vacances, amour, pied, chaussures, Masturbation intermast, fgode, préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, init,
... lui désigna le tabouret et l’invita à s’asseoir. Le plus délicat restait à venir. Ses tempes battaient, et elle baissa la tête de manière à cacher sa vive émotion. Du sac marqué d’un grand « D » elle sortit une grande boîte en carton jaune et bleu. En un instant, l’émotion se propagea de l’un à l’autre des partenaires. Dans le plus total silence, Béatrice s’agenouilla, posa la boîte à terre et souleva lentement le couvercle. Alors que ses mains commençaient à trembler imperceptiblement, elle tenta de s’imposer le plus grand calme tandis qu’elle libérait une première sandale de bois du papier soie. Sa taille en imposait dans les mains fines de Béatrice, elle n’aurait pas manipulé un godemiché différemment. Daniel n’en revenait pas et pris de surprise laissa sa partenaire glisser tour à tour les sandales à ses pieds. Elle se redressa et lui adressant un regard aussi tendre qu’impératif et l’invita à lui offrir son cadeau à elle. Elle se campa très droite face à glace pendant que Daniel déployait quasiment sans surprise le peignoir blanc qu’elle s’était choisi. Il passa derrière elle pour lui en couvrir les épaules puis fit glisser ses bras dans les amples manches. Il lui fit face et noua à regret la ceinture de tissu éponge. Selon le même cérémonial que celui auquel il avait eu droit, un instant auparavant, il posa à terre la boîte en carton jaune et bleu qu’il trouva au fond du sac et dévoila une paire de sabots blancs. Il eut un sourire amusé. Quelle mouche avait donc piqué ...
... Béatrice pour qu’elle succombe au charme indicible des socques de bois ? Il la sentit vibrer lorsqu’il commença à la chausser. Il lui caressa d’abord chaque pied qu’il guida avec précaution dans leur fourreau de cuir. Après s’être assuré que le pied était parfaitement en place, il fit pivoter la bride et l’ajusta au talon. Béatrice entra lentement en transe tandis qu’elle sentait la seconde bride lui mordre légèrement la peau. — Caresse-moi, souffla-t-elle imperceptiblement, caresse-moi ! reprit-elle comme si elle avait eu peur de ne pas être comprise. S’il te plaît ! insista-t-elle d’un ton implorant mais qui n’aurait pas souffert la discussion. Elle lui prit la tête entre les mains et la guida vers sa vulve dilatée. Il se mit en position accroupie et fit glisser ses mains sous le linge éponge et prit appui sur les cuisses fraîches de Béatrice. Amusé par les surprises accumulées en cette fin d’après-midi, heureux de cette aventure au goût épicé, il s’appliqua à exacerber graduellement les sens de Béatrice. Sans qu’il le sut ni ne puisse le voir, elle osa progressivement se regarder dans la glace tandis que montait progressivement en elle le plaisir. Le reflet lui renvoyait l’image de son corps et son peignoir entrebâillé devant lequel s’activait un homme qu’elle n’aimait pas vraiment mais qui avait su éveiller ses sens, lui faire découvrir l’art du bien-être, et qui de surcroît la rendait heureuse. Elle l’observait s’activer tandis qu’elle sentait sa langue la caresser ; elle ...