1. La maîtresse vierge


    Datte: 13/10/2019, Catégories: f, fh, ffh, bizarre, vacances, amour, pied, chaussures, Masturbation intermast, fgode, préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, init,

    ... de Florence, se fraya un chemin dans sa fente et remonta délicatement vers le clitoris. Plus elle travaillait le petit organe, plus il grossissait ; Béatrice s’activa, laissant à peine à Florence le temps de reprendre son souffle. Son corps vibrait littéralement sous les assauts. — Tu es clitoridienne ma chérie, glissa-t-elle à l’oreille de sa soumise et elle répéta ce constat tandis que le corps de Florence était agité par les spasmes de l’orgasme.— …— Alors, on est amies ? récidiva Béatrice.— Oh oui ! gémit Florence qui se croyait au paradis des âmes tendres, entourée de deux cousins bienveillants. Daniel ne remarqua strictement rien lorsque le corps frais, il plongea à son tour sous la couette. Se deux voisines semblaient dormir profondément, ce qui était à moitié vrai et à moitié faux. Le petit-déjeuner fut joyeux, le temps était superbe. Malgré cela, les ambitieux de la veille n’étaient pas encore sur les pistes. Florence, rompue par sa nuit dormait comme un bébé tandis que le reste de la troupe avalait un solide petit déjeuner. Ils composèrent rapidement des équipes : les débutants annoncèrent la modestie de leur niveau ; le nombre des participants diminuait au fur et à mesure que les prétentions grimpaient. Béatrice n’avait toujours pas parlé, et Daniel hésitait à skier un cran au-dessus de ses moyens. Au jeu du poker menteur, ils se retrouvèrent tous les deux, partant pour les hauts sommets, via une ascension fractionnée en plusieurs tronçons de téléphérique. ...
    ... Harnachés, gantés, couverts, équipés de leurs lunettes solaires impénétrables, ils se retrouvèrent pressés l’un contre l’autre dans la cabine de téléphérique qui partait de la station. Malgré l’épaisseur de leurs vêtements, Daniel eut une agréable sensation, uniquement à l’évocation du contact avec le corps envoûtant de Béatrice. Ils dévalèrent une petite piste pour atteindre un second tronçon équipé d’œufs. Skiant dans le sillage de Béatrice, Daniel put se faire une idée très précise des qualités de skieuse de sa partenaire. Un style gracieux, tout en souplesse, précis, Béatrice n’avait pas bluffé ! C’est lui qui allait devoir sortir le grand jeu sous peine de déguster. Un grand soleil illuminait les sommets transformant les œufs en étincelantes boules lumineuses. Un perchman s’occupa de leur ski et referma la coque sur eux. La cabine bondit, oscilla et amorça sa lente ascension. Sans précipitation mais sans plus attendre, Béatrice fit jouer la fermeture éclair de sa combinaison, dévoilant le haut de son corps nu, mat et ferme. Les corolles de seins raidies par la faible température pointaient vers le soleil. Elle bascula la tête en arrière pour goûter pleinement de la lumière, les yeux mi-clos derrière ses lunettes solaires. Daniel lui, avait les yeux totalement écarquillés et ne put s’empêcher de laisser s’échapper un petit cri d’admiration. — Tu les trouves comment ?— Tu veux dire, mes skis ? Ils partirent d’un grand éclat de rire. — Fais-moi jouir ! ajouta Béatrice en descendant ...
«12...373839...43»