1. La maîtresse vierge


    Datte: 13/10/2019, Catégories: f, fh, ffh, bizarre, vacances, amour, pied, chaussures, Masturbation intermast, fgode, préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, init,

    ... ouvert. La porte coulissa sur ses gonds découvrant une image féerique aux yeux du visiteur. Somptueuse dans une robe de voiles et de tulles blancs, Béatrice semblait occuper l’intégralité de l’espace du hall d’entrée. Daniel repoussa la porte tandis que Béatrice suivait chaque mouvement du regard, le corps strictement immobile. — Je vais me marier.— Euh, je vois. Enfin… c’est pas une de tes nouvelles blagues ? Pour toute réponse Béatrice leva la main gauche, se déganta et dévoila un bijou d’une taille quasi indécente. Elle se re-ganta et reprit sa pose naturelle. — Et comment se nomme l’heureux élu ?— Ça n’a pas d’importance, tu ne le connais pas, il ne te connaît pas, d’ailleurs nous nous envolerons pour Berlin dès la fin de la fête, et c’est là-bas que je vivrai.— Tu es heureuse ?— Oui, je suis heureuse. Mais elle reprit : — Je m’en vais, mais je suis toujours ta maîtresse, ne l’oublie jamais.— Et moi alors ?— Toi, tu es mon bel amant et tu vas me dire au revoir très gentiment. Disant ces mots, elle rassembla les volutes de sa robe, dégageant ses escarpins, ses bas satinés. Elle s’inclina, posa ses mains gantées de maille blanche sur ses cuisses, les fit glisser sur ses genoux, sur ses mollets tout en s’inclinant. Daniel prit son temps et fit durer quelques secondes la posture. Il la contourna, l’effleura, fit glisser sa main le long des lobes des fesses de Béatrice. Elle frissonnait. Puis il glissa un doigt dans l’anus étroit de Béatrice : elle ne s’était pas préparée, ...
    ... avait formé le projet d’être prise à cru, de souffrir une dernière fois pour mieux se souvenir de ses ébats érotiques. Lorsqu’elle se redressa enfin, la corolle de son anus rougie et dégoulinante de sperme, elle tenta d’offrir le plus joli sourire à son partenaire. Mais son rimmel avait coulé, ses joues étaient zébrées par les traces laissées par ses larmes. — Je t’aime grand nigaud, souffla-t-elle en déposant un doigt sur les lèvres qui tentaient de l’embrasser. Va-t’en ! Il tourna les talons, sortit sans se retourner, elle ne le revit plus jamais. Berlin, le 22 décembre Chers tourtereaux, Pas la peine de protester, je sais que vous serez ensemble pour lire cette lettre ; ce n’est pas parce que j’habite à présent à perpette que je ne me tiens pas informée. J’ai appris que vous viviez ensemble et c’est très bien. J’ai croisé le Père Noël et il m’a demandé de joindre ce paquet à ma lettre pour économiser un aller-retour en traîneau. Daniel, tu avais raison ; tout le monde en porte ici. Moi j’en ai une paire pour le sauna, une pour la maison et même une pour le bureau. En les portant, vous penserez un peu à moi, je serai pour ainsi dire à vos pieds ! Florence, avec ce qu’il y a dans cette boîte, tu ne risques plus d’être prise de court, fais-en bon usage. Joyeux Noël Béatrice — Quel numéro celle-là ! fit Florence en repliant la lettre et en jetant un regard de convoitise sur les paquets enrubannés. Et un peu plus tard : — Oh, tiens, elles sont pareilles que tes vieilles sandales ...