1. Mon avocat


    Datte: 13/10/2019, Catégories: fh, Oral pénétratio, fsodo, ecriv_f,

    Cet avocat m’a été recommandé par une amie. Il a défendu ses intérêts dans une difficile affaire de succession. Elle ne m’a vanté que sa disponibilité et ses compétences professionnelles. C’était tout ce que je demandais. Au téléphone, le courant n’est pas tellement passé ; il était froid, distant voire hautain. Au bout de plusieurs échanges téléphoniques et par mail, nous avons dû nous rencontrer. Lorsque je l’ai vu pour la première fois, ce qui m’a frappé tout de suite, c’est qu’il était beaucoup plus jeune que je ne l’avais imaginé : Pas plus de 35 ans. Pour le reste, un look d’avocat : lunettes sévères, chemise aux plis impeccables, cravate sans originalité… Nous avons débattu de mon affaire de divorce. Au bout d’une quinzaine de minutes, il m’a congédiée à peine poliment. J’étais soufflée. Deux jours après, c’est lui qui m’a appelée pour fixer un nouvel entretien. Je me suis étonnée de devoir le revoir si vite croyant avoir fait le tour de la question. Il a argué du fait que certains éléments manquaient de clarté et qu’il avait besoin de mon éclairage. Il est venu me chercher dans la salle d’attente, je l’ai suivi dans les escaliers ; j’ai ainsi remarqué la bonne coupe de son pantalon mais je me suis aussi surprise à mater ses fesses et ses épaules. Je me suis vite reprise mais j’ai quand même senti que je rougissais un peu quand il s’est effacé devant moi en me tenant la porte ; a-t-il aussi regardé mon cul moulé dans une petite jupe noire quand je suis passée ? J’ai ...
    ... regretté d’avoir mis ces collants rose bonbon, un peu trop fun pour un avocat ! Un petit couloir borgne menait à son bureau encombré de dossiers, la porte grinçait de façon presque comique. L’équipement informatique dernier cri jurait décidément avec la vétusté des locaux . Il s’est assis et chose nouvelle : il a souri ! Il a retiré au même moment ses lunettes pour les essuyer et je suis restée saisie par son regard bleu, très doux, le laissant apparaître beaucoup plus vulnérable que dans son uniforme de Maitre machin..et là je me suis sentie fondre….D’ailleurs, je crois bien que déjà là j’ai commencé à mouiller ma culotte. Plus j’essayais de ma raisonner en me disant que ce n’était ni le lieu ni la personne…Que j’étais là pour une affaire sérieuse, plus des images torrides affluaient dans mon cerveau me représentant le baveux, qui décidément voulait mériter le sobriquet , à genoux entre mes jambes, me léchant avec ardeur, ou bien moi, cuisses écartées sur son bureau au milieu des dossiers épars, le laissant me besogner à loisir d’une queue que j’imaginais bien proportionnée. Il dût sentir mon trouble car son sourire s’accentua et il me demanda de but en blanc : « avez-vous un amant ? » Je restais interloquée. Il se reprit : « j’ai besoin de savoir si les attaques de votre ex mari sont fondées » J’avais eu plusieurs occasions de tromper Louis mais jamais je n’avais souhaité rompre le contrat entre nous même les derniers temps quand ça ne marchait pas très fort. Mais, je ne sais ...
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