1. Mon avocat


    Datte: 13/10/2019, Catégories: fh, Oral pénétratio, fsodo, ecriv_f,

    ... pas ce qui me prit, je m’entendis répondre : « pas encore » — Vous avez des projets ?— Ça dépend— De quoi ?— Vous voulez dire de qui— Vous avez quelqu’un en vue ?— Ça se pourrait bien » Je sentis qu’il ne savait pas si c’était du lard ou du cochon. Il me jeta un regard interrogateur, sourit, toussa, tira un peu sa chemise et se rassit. Reprenant une contenance toute professionnelle et se cachant derrière ses montures, il me dit qu’il ne saurait trop me conseiller d’être prudente tant que le divorce n’était pas prononcé et, le cas échéant de le faire en toute discrétion. Je le regardai droit dans les yeux, reculai un peu ma chaise et relevai ma jupe de quelques bons centimètres pour décroiser puis recroiser mes jambes, sans répondre. Il se leva et fit le tour de son bureau pour se retrouver face à moi ; il s’assit sur le bord et me regarda sans rien dire. Je soutins le regard . Il avanca un peu et un dossier en équilibre précaire tomba sur le sol. — Oops il a glissé, dit-il » Nous étions tous les deux accroupis par terre à ramasser les feuilles éparses sur le tapis. Je remarquais au passage des paquets de pepito vides dépassant de la poubelle : un gourmand me dis-je en moi-même. Je répondis : — Eh oui un dérapage est si vite arrivé— Etes-vous contre les dérapages, me demanda-t-il ? » Je décidais de me jeter à l’eau : « Il y a des gens avec qui on a plus envie de déraper que d’autres…. » Je jetais un œil sous sa ceinture et une petite bosse m’indiqua, un qu’il portait à ...
    ... gauche, deux que mon discours et mes collants lui faisaient de l’effet. Mais je sentis qu’il lui fallait un signal plus clair. Avocat mais timide ; la peur du râteau ou de la gaffe… Je lui tendis la dernière feuille et posais ma main sur sa cuisse : « le terrain ici est glissant mais j’ai très envie de déraper » Il ne dit rien, posa le dossier sur le bureau tandis que nous nous relevions. Déçue par son absence de réaction, je me retournais pour attraper mon manteau posé sur le dossier de la chaise ; c’est alors que je sentis ses deux mains qui m’empoignaient les fesses ; il les pétrit doucement d’abord, puis de plus en plus fermement ; mon bassin se mit à onduler et je fermais les yeux ; je sentais sa respiration contre ma nuque ;il m’embrassa dans le cou, au coin des oreilles et m’entoura de sas bras ; ses mains allèrent chercher mes seins ; ses doigts se glissèrent sous le pull et le top, puis encore sous le soutien-gorge blanc en fine dentelle. Il me caressa les tétons déjà au garde à vous ; j’avais la chair de poule mais ce n’était pas le froid ! Je sentais ma culotte devenir de plus en plus humide ; de petits filets coulaient le long de mes cuisses. Justement, ses mains abandonnèrent ma gorge pour mes jambes ; il remonta des genoux au pubis à travers le collant et il me glissa à l’oreille « tiens, mais il pleut ? » Je répondis à mi-voix « à torrents ! » Sans que je sache comment, je sentis en quelques secondes son index qui courait le long de mes lèvres. Je posais un pied sur ...